samedi 30 novembre 2013

pourquoi un excédé a tiré sur des journalistes...


... parce que lorsque les médias se taisent, donc tout est possible, partout.

 

Une cour de cassation qui ne casse pas des briques, incompétente, inique, c'est jouable si les médias se taisent.


Un conseil constitutionnel qui est anticonstitutionnel parce qu'il utilise des faux et de purs et simples mensonges , c'est facile, puisque les décisions du Conseil sont sans recours (article 62 de la constitution). C'est un peu comme si le droit divin était rétabli au coeur de la constitution, mais pas pour être divin.

 

Un tribunal correctionnel (12ème chambre/1 du TGI de Paris) qui veut condamner la victime blessée à vie, l'agresseur étant un indic de la police :

c'est encore plus facile, non seulement les médias le cachent, mais les gendarmes sont là pour veiller et expulser de l'audience, en tout devoir de réserve, acte que je traduis en devoir d'idiotie ou de lâcheté, ou de complicité active, au choix.

 

ALORS,

Mme Dominique Simonnot (journaliste du Canard Enchaîné en charge des procès viciés) :

Merci de venir assister à mon procès le 18 décembre 2013 à 13H30 pour constater que la 12ème chambre correctionnelle /1 du TGI Paris sait condamner une victime.
Comme d’habitude (déjà 3 procès politiques, une dizaine d’audiences !), je serais expulsé par les gendarmes dès que j'ouvrirai la bouche :


 

L’affaire, un 3ème coup monté par les flics aux ordres de l’ex-préfet de police Michel Gaudin :


 

Une interview radio IDFM98 a eu lieu, il existe des médias compatissants (si, si, tout le monde ne travaille pas au canard très enchaîné) :


 

Vous noterez que la CNCCFP (comptes de campagnes) déclare systématiquement inéligible pour 3 ans les candidats hors partis, dont moi, par décision du Conseil  constitutionnel parce que ses décisions sont sans recours (article 62 constitution). Il suffit de googler « journal officiel prénom nom » pour connaître les malheureux fort démocratiquement « inéligiblés »  :


 

Vous noterez aussi qu’une cour de cassation ne vérifie pas la procédure (absence d'avocat dans ce cas), mais juge que la peine n'est pas assez lourde en invoquant un article de loi déjà abrogé parce que contraire à la constitution (618-1 du code de procédure pénale). On s'en fout que la loi soit abrogée, ça peut servir :



Ce n’est pas grave, aucun média ne signalera cette multitude de détails, surtout pas un journal indépendant comme le Canard Très Enchaîné, ou Médiapart, etc., au service de leurs lecteurs encenseurs, admirateurs du courage de ces journalistes, parce que vraiment trop... disons crédules.

 

Copie de ce message est envoyé à tous mes contacts courriels, l'invitation gratuite au cirque du 4 Bd du Palais à Paris, le 18-12-2013 à 13H30 vaut pour tous ceux qui s'ennuient.

Surtout pour les gendarmes, surtout ceux qui sont sur le point de se suicider, pour leur redonner de l'espoir, leur montrer un exemple de courage.
 

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