lundi 18 novembre 2013

Lex gladius juris est

Le refus de paiement de la dette publique est la mesure impérative à prendre avant de reconstruire notre nation.
C'est présenté dans cet article :
http://patricehenin.blogspot.fr/2013/07/dette-publique.html

Il ne reste plus que la force des armées pour rétablir l'état de droit, refaire des élections après avoir corrigé et fait accepter par referendum la constitution "nettoyée".
Par exemple, plus de conseil constitutionnel "divin" (dont les décisions sont sans recours ! article 62).
Un organisme qui fait et défait les élections, fait et défait les lois.

Sortie de l'Europe, de l'euro, de l'OTAN, mais en mettant en place une monnaie de référence internationale ainsi qu'une Alliance de pays l'adoptant. Et reconstruire les armées pour montrer les muscles, ce monde est devenu trop dangereux.

Objectifs ultimes : baisse des populations sans génocides (1 enfant par couple ?), baisse de la consommation et productions tueuses de biodiversité.

Lutte sans pitié contre la corruption, plus de monnaie "liquide", niches fiscales...
Donc, rétablissement de la peine de mort lorsqu'il s'agit de crimes

Alors, pour les militaires hésitants, voici un texte un peu grandiloquent, mais convainquant, à usage pratique.

oooooOooooo


Nous, soldats de la République, n'avons que des devoirs dont celui de réserve.

Nous ne sommes pas des mercenaires, nous ne pouvons tuer que des ennemis de la France et uniquement sur ordre.

Même si le logiciel LOUVOIS est très bien programmé pour nous payer de façon aléatoire et fantaisiste, nous restons engagés pour défendre au péril de nos vies des valeurs autres que celles des ploutocrates qui contrôlent certains de nos chefs, des élus, par corruption.

Le chef suprême des armées a pourtant demandé à ses propres soldats de retirer le percuteur de nos FAMAS lorsqu'il passe ses troupes en revue (01).

Le président a peur de son armée et nous a considérés comme des terroristes ennemis.

 

C'est pour cela, Amiral, que vous devez vérifier de qui notre chef suprême tient ses propres ordres.
Des ploutocrates, de l'extérieur, appuyés par des collaborateurs internes, dont lui-même, ou bien de notre peuple souverain ?

 

Nous, soldats de la République française, soldats français de toutes les souches, de toutes origines, ethnies, religions, de tous les corps de la Légion Étrangère, des airs, mers, terres, réunis en une seule nation, nous devons, au nom de ceux qui sont déjà morts pour notre pays, depuis des siècles, de tous ceux à naître, rétablir l'état de droit, sauver notre pays de la barbarie.

La copie de la plainte qui vous a été transmise, Amiral, pour information et action n'est qu'un exemple (02) parmi beaucoup trop d'autres.



Cette plainte démontre qu'une collection quasi complète de toutes nos institutions, associations, médias, partis politiques, y sont dénoncées pour association de malfaiteurs par des preuves irréfutables.

Maintenant nous le savons, sortir de notre réserve est notre devoir.

 

Amiral, il ne manquerait plus que vous pour rejoindre cette association, en continuant à servir cet état de non droit !

Ce serait sans nous.

 

Amiral, nous avons apprécié vos compétences pour ne pas dire vos exploits comme votre gestion de l'opération Harmattan en Libye.

Elles sont telles que si l'on vous ordonnait de mettre le feu au monde, avec comme moyens une boîte d'allumettes, vous y parviendriez.

Nous  renouvelons donc notre totale confiance en vous, Amiral, soyez assuré de notre sens de la discipline.

Mais si le président n'est pas l'émanation de notre peuple, nos armées sont des corps sans tête, il nous reste vous, Amiral pour que notre peuple retrouve ses forces.

 

Amiral, dites au président de la République que Vichy,
c'est fini.
Que le démantèlement de notre pays,

C'est fini.

Que la destruction de la planète, de tout et tous pour le profit,
c'est fini.

 

Nous, Gardes Républicains, avons la République en garde.

Nous connaissons les lieux des protocoles où ces corrompus caracolent et volent.
Pour une fois, la Garde se rendra, en ces lieux, pour y arrêter ces gens.

Amiral, nous attendons vos instructions.

 

Nous, agents de la force publique, policiers et gendarmes refusons de continuer à suivre ces syndicalistes policiers qui incitent au non-respect des lois, ces crimes répétés d'incitation à la désobéissance aux lois (03) adressées à ceux qui devraient la faire respecter (04).
Alors que des citoyens sont emprisonnés (05) pour avoir manifesté légalement leur opinion, que des policiers sont punis parce qu'ils dénoncent légalement la folie (06) de certains de leurs collègues, qui sont eux récompensés.
Nous, policiers, avons décidé de sauver l'honneur de la police, des gendarmes, et sortons de notre réserve.

 

Nous forces publiques au service de nos citoyens, de par la constitution séculaire, nous tuerons tout agent de "l'eurogendfor"(07) qui viendrait dans notre pays y semer la terreur, parce que le traité de Lisbonne l'autorise à tuer des "émeutiers" (08).
Nous ne laisserons pas des manifestants pacifiques français être assassinés par des miliciens venus de l'étranger.

 

Amiral, dites au président de la République qu'il doit appliquer l'article 67 au vu de son prédécesseur Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa : les instances et procédures peuvent être reprises ou engagées contre lui à l'expiration d'un délai d'un mois suivant la cessation des fonctions.

 

C'est lui qui a nommé le président du Conseil constitutionnel (article 09).

Nous avons en mémoire le discours de l'ancien chef suprême des Armées à Kaboul (09), le 20 août 2008, après que 10 familles aient perdues 10 de nos camarades de combat le 18 août 2008 :



Nous savons maintenant pourquoi le conseil constitutionnel n'a pas réagi en appliquant l'article 68 de la constitution : jamais dans l'histoire d'aucune guerre en aucuns pays un chef suprême d'armées n'avait eu l'idée d'essayer de faire de l'esprit et de glousser, de rire, devant des soldats au garde à vous qui venaient de perdre 10 des leurs en une patrouille, devant les 10 cercueils de nos frères d'armes.

 

Les politiciens qui veulent négocier les solutions pour éviter le pire ou maintenir une civilisation sont balayés par le Conseil constitutionnel qui fabrique des faux en écriture (10) publique ! Alors, en toute légalité, légitimement, nous disons :

Gare à nous !


Dites au président de la République qu'il est le garant de l'indépendance nationale (article 5).

Nous ne sommes pas équipés, nous exigeons la réouverture de l'atelier GIAT du Mans pour nos munitions du FAMAS (11), afin de disposer de munitions pour nos FAMAS fabriquées en France et non en Israël ni aux Émirats.


Nous ne sommes plus une nation indépendante, la défense militaire française, sa force nucléaire sont cogérées financièrement avec le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie…

 

Les citoyens doivent nous redonner un chef suprême normal voire exceptionnel ou confirmer leur confiance envers le  président actuel.

Les élections ont été faussées, nous réclamons une réélection réellement digne de la démocratie, comprenant la réinscription de la centaine de candidats précédemment inscrits, la publication gratuite et médiatisation de leurs professions de foi auprès des élus qui parrainent.

 

Nous avons répondu présents, au garde à vous, dans la boue, pour nous entre-tuer entre nations voisines.

C'était une boucherie, mais nous avons obéi, parce qu'au fond de nos cœurs nous pensions que  nos femmes et enfants auraient un avenir meilleur.

Les marchands de canons y ont gagnés, grâce à nous.

 

Nous avons répondu présents, du fond de nos gourbis (12), de nos villages, au garde à vous, puis dans la boue, pour nous entretuer entre voisins et terres lointaines.
C'était la barbarie, nous l'avons éliminée, nous sommes retournés dans nos gourbis et nos villages, parce qu'au fond de nos cœurs nous pensions que  nos femmes et enfants auraient un avenir meilleur.

Les marchands de canons y ont gagnés, grâce à nous.

 

On rappelle encore ce qui reste de nous, la Syrie, son gisement de gaz et ses oléoducs appartiendraient à des barbares.
Non.

La barbarie est partout, chez nous, nous savons ce qu'ils peuvent faire à nos veuves et que nos enfants n'ont pas d'avenir (13).

En bons soldats nous ne bougerons que pour les membres d'un seul parti, la patrie, la France.

 

Amiral, il y a pire que de sacrifier sa vie, c'est de sacrifier son honneur (14).
Amiral, vous avez le choix de perdre ou sauver les deux à la fois.

Vous avez choisi de sauver la France, vous pouvez rappeler aux ploutocrates que :

lex gladius juris est.

 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 
(14) http://militaires-d-hier.forumgratuit.org/t3738-il-y-a-pire-que-le-sacrifice-de-sa-vie-c-est-celle-de-sacrifier-son-honneur
 

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