jeudi 23 mai 2013

Avis de non-admission de pourvoi confirmé


Avis de non-admission de pourvoi confirmé

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COUR
DE CASSATION

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PARQUET
DU
PROCUREUR GENERAL
(340)

Paris, le 15 mai 2013

Le PROCUREUR GENERAL
près la COUR de CASSATION
à

M. Patrice HENIN
29 rue des Meuniers
75012 Paris

N/Référence : PG/H 1287017

 

Monsieur,

Vous avez formé un pourvoi contre l'arrêt rendu par la cour d'appel de Paris en date du 17/10/2012.

Comme annoncé par une précédente lettre, j'ai l'honneur de vous informer que votre dossier a été examiné par un avocat général à la Cour de cassation, et sera fixé à une prochaine audience de la chambre criminelle.

Pour satisfaire pleinement aux exigences de la Cour européenne des droits de l'Homme, je dois vous informer du sens des conclusions de l'avocat général. En l'espèce, il s'agît d'un avis tendant à la non-admission du pourvoi.

Il ne pourra vous être donné aucune information complémentaire ; vous pourrez, toutefois, si vous l'estimez nécessaire, faire parvenir au greffe criminel de la Cour de cassation,5 quai de l'horloge (75001) PARIS, par retour du courrier, en visant a référence ci-dessus et en trois exemplaires, de brèves observations qui seront versées au dossier avant son examen.

Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.

 

Le PROCUREUR GENERAL
[signature]

D. BORRON



No comment.

Je rappelle qu'il s'agit encore une fois d'essayer de me mettre en psychiatrie. La précédente condamnation (2008), exécutée de 2009 à 2011, a immédiatement été suivie d'une agression par un agent des stups qui m'a accusé de rébellion après m'avoir très violement tabassé.

La juge de libertés et des peines Catherine Barès n'avait pas jugé vraiment utile de m'envoyer réellement en psychiatrie, vu l'iniquité flagrante du précédent procès sans avocats.

On remet ça, normal dans mon pays.
Alors je réponds :

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Patrice Hénin
29 rue des Meuniers
75012 Paris
à
Greffe criminel de la cour de cassation
Procureur général D. Borron
5 quai de l'Horloge
75012 Paris

Paris, le 23 mai 2013

Votre référence : PG/H 1287017

 

Suite à votre courrier du 15 mai 2013, reçu le 22 mai 2013, voici mes "brèves observations" :

- j'observe et rappelle qu'en ce qui concerne ma condamnation à l'obligation de soins psychiatriques, le préfet de police Michel Gaudin s'était levé à 3h du matin le 16 mars 2011 pour ordonner aux policiers de m'envoyer à l'Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police de Paris plutôt que de me relâcher comme d'autres réels clients du "dealer" Manuel Jesus Marquès.
J'y ai été examiné par le Dr Forissier vers 16h, ce 16 mars, qui a décidé qu'un internement n'avait aucun sens "compte-tenu de ma personnalité."
Chaque fois que j'ai essayé de demander à la barre pourquoi on insiste tant pour me faire passer d'autres examens psychiatriques, on m'a expulsé manu militari.

- j'observe et rappelle qu'en ce qui concerne la "rébellion", j'ai été violemment frappé par cet agent David Gatty, devant plusieurs témoins, dont la gardienne de l'école du 40 rue des Meuniers 75012 Paris. Je me suis présenté à plusieurs reprises à cette école pour obtenir un témoignage écrit de cette dame, des intérimaires puis finalement la directrice de cette école m'ont d'abord dit qu'elle était malade, puis elle a été mutée.

- j'observe et souligne que la réadmission de mon avocate Me Catherine Henin-Clark au barreau de Paris, courant octobre 2011, qui devait aboutir au bout de 3 semaines maximum n'est toujours pas effectuée et qu'elle maintient sa demande. Toutes ses demandes auprès de ses pairs pour que l'un d'eux accepte de traiter son courrier sont restées sans réponses.

J'ai bien pris note que l'avocat général de votre cour de cassation donne malgré tout un avis qui tend à la non-admission du pourvoi.
J'estime donc que j'ai réuni à ce jour suffisamment d'éléments pour constater l'état de non-droit au TGI de Paris, entre le 23 avril 2006 et le 22 mai 2013.
Par acquis de conscience, je rédige une plainte pour association de malfaiteurs destinée à me nuire auprès du doyen des juges d'instruction de ce TGI de Paris.

Par souci de l'intérêt général de mon pays, pour rétablir l'état de droit, la fierté des autres policiers, gendarmes, avocats, magistrats, employés d'administrations, élus, journalistes, psychiatres, médecins, informaticiens non corrompus, des milliers de mes sympathisants qui tous veulent éradiquer la corruption, rétablir la civilisation, je m'adresse donc à eux pour agir.

Patrice Hénin a écrit et signe.

 

dimanche 19 mai 2013

Fumer en magasin ? Non. Vapoter en magasin ? IM-PEN-SA-BLE !


Magasin DIA
120 rue du Général Malleret -Joinville - 94400 Vitry sur Seine

Paris, le 15 mai 2013

Madame, Monsieur,

Je voudrais savoir si l'usage des cigarettes électroniques est interdit dans vos magasins DIA à l'instar des cigarettes de tabac.

Je m'abstiens d'utiliser ma cigarette électronique en lieu public d'habitude, mais en faisant la queue dans votre Magasin DIA, 39 rue de Wattignies 75012 Paris, j'ai rencontré un ami qui faisait la queue devant moi, à 19H50, ce mercredi 15 mai 2013.

Nous avons discuté des cigarettes électroniques parce que c'est un  ami qui fume beaucoup et je lui parlais des avantages de la cigarette électronique, tout en sortant la mienne pour une démonstration en tirant une ou deux bouffées.

Aussitôt la caissière de votre magasin m'a intimé l'ordre d'arrêter en me montrant le panneau "interdit de fumer". J'ai mis ma cigarette électronique dans ma poche, mais lui ai répondu que je ne fumais pas et lui ai demandé si elle avait entendu parler des cigarettes électroniques.

Elle m'a répondu "oui, c'est interdit… vous avez une ordonnance médicale ? Pour prouver que vous ne pouvez pas vous en passer ?". J'ai été plutôt surpris par de tels arguments, vexé d'être traité de "malade" en public.

Une autre personne lui a dit "qu'elle avait tort à 100%". Trois personnes peuvent témoigner de cette scène.

Quel est votre règlement en la matière ?

- Si l'usage des cigarettes électroniques est prohibé dans vos magasins, veuillez le signaler par des panneaux appropriés en plus de ceux dédiés aux cigarettes de tabac.

- Si son usage, surtout non provocateur, est autorisé, veuillez l'inclure dans la formation de votre personnel.

- Si votre attention sur ce sujet n'a pas encore entraîné de décision, sachez que le Pr Bertrand Dautzenberg, lorsqu'on lui demande si la vapeur d'une cigarette électronique peut être cause de tabagisme passif, répond que la fumée de tabac reste en suspension 15 minutes dans l'air, la vapeur d'une "cigarelle" (E-cig) 11 secondes. Que cette vapeur de propylène glycol et glycérine est très exactement la même "fumée" que celle qui est diffusée lors de concerts sur scène.
À ce jour, aucun caissier de salle de spectacle n'est intervenu pour évacuer la foule des spectateurs pour les sauver d'un tabagisme passif ou incendie virtuel.

Si vous vous alignez sur la position de la RATP, qui explique qu'elle préfère interdire la "cigarelle" parce que de trop nombreuses personnes réagissent comme si elles étaient en face d'un supposé "fumeur" utilisant une "cigarelle" dans un métro, bus, au lieu de réagir comme si elles étaient en face d'un "fumigène" dans une salle de spectacle, alors vous vous placez du côté des véritables fauteurs de troubles.

Le nombre de fumeurs convertis aux "cigarelles" augmente très rapidement, il est certain que des magasins autorisant l'usage de cigarettes électroniques finiront par le signaler fièrement, aux dépends des magasins qui auront choisis de porter atteinte à la liberté individuelle.

Seule le monopole de la RATP lui permet d'être ridiculement stupide, comme l'ont montré les polémiques sur ses censures de publicité appliquées à la pipe de Tati, la cigarette de Serge Gainsbourg.

Dans l'attente de votre réponse, veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.

Patrice Hénin, 29 rue des Meuniers 75012 Paris
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J'ai ouvert un sujet de discussion dans le "forum-Ecigarette", déjà 13 pages de commentaires !
Signez la pétition, ça urge : http://www.aiduce.fr/petition/
Parce que en Europe, on se prépare à faire plaisir aux tabaccologues qui veulent garder leur clientèle :
La raison seule ne suffit pas :
un député qui ne sait pas de quoi il s"agit, mais fait une proposition de loi en faveur des buralistes (= cigaretiers) :
 

 

 

vendredi 3 mai 2013

Echec aux fous du foie (par caméra cachée)


Si vous avez une hépatite B, ou C, ou B + C, il vous faut d'urgence aller vous faire soigner en psychiatrie. C'est mon hépatologue Dr G. Buzaglo-Braun, du Val de grâce à Paris, qui le dit.

Je m'en offusque :


Hôpital d'Instruction des Armées

du Val de Grâce

Service Gastro-Entérologie

Dr G. Buzaglo-Braun

74 bd de Port-Royal

75230 PARIS Cedex 05



Paris le 03 mai 2013

Docteur G. Buzaglo-Braun,


À votre demande, j'ai consulté le Dr Marion Corouge de l'hôpital Cochin le 27 août 2012 parce que vous estimiez qu'elle était plus compétente que vous en nouveaux traitements des hépatites B et C.

Ce médecin m'a prescrit du Viréad pour l'hépatite B.

Elle m'a demandé de suivre un traitement psychiatrique en vue d'un éventuel traitement à l'Interféron pour l'hépatite C.

J'ai donc consulté deux fois le psychiatre Agapes d'Arménidjian (nom fictif) qui vous a remis son avis.

Je vous ai envoyé les derniers résultats des examens sanguins et Doppler par courrier postal en date du  9 mars 2013, ainsi que la copie de l'avis favorable pour un éventuel traitement à l'Interféron.

Ceci pour vous permettre de déterminer si un traitement à l'interféron ou autre est nécessaire pour l'hépatite C, et si la prise de Viréad est toujours nécessaire vu qu'elle n'est plus détectable.


J'attends toujours votre avis.


Vous m'avez affirmé, tout comme le psychiatre Agapes d'Arménidjian (nom fictif) de l'hôpital Cochin que je devais suivre un traitement psychiatrique AVANT MÊME de décider si le traitement à l'interféron était nécessaire.


Vous m'avez affirmé qu'après vous être renseigné auprès du service psychiatrique du Val de Grâce que ce service a appris que j'étais déjà suivi au Centre Médico-Psychologique du XIIème arrondissement par un certain Dr Thomin.


Je n'ai jamais été suivi par ce centre et ne connais pas ce Dr Thomin.


Ce mensonge doit être précisé par retour de courrier, en indiquant le nom des personnes du service psychiatrique du Val de Grâce qui ont recueilli cette fausse allégation, faute de quoi mon avocate Me Catherine Henin-Clark vous inclura dans l'association de malfaiteurs en bande organisée, décidée à me nuire par internement psychiatrique abusif.

La plainte est en cours de préparation et sera déposée après votre réponse.


Toutes les membres de cette association et leurs actions sont décrites et nommés dans mon livre électronique à l'adresse :
http://patricehenin.blogspot.com


Patrice Hénin 29 rue des Meuniers 75012 Paris a écrit et signe cette lettre recommandée.

Copie à Me Catherine Henin-Clark P.A.



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N'ayant toujours pas reçu d'accusé réception ce 16 mai 2013, je passe à la poste pour m'épancher.
Le postier consulte l'Internet et semble surpris. Il m'annonce que ma lettre a bien été distribuée le 6 mai 2013. Pour soulager mon émoi, il me propose de rédiger une réclamation :













Pour une raison encore inconnue, la lettre a été réceptionnée sans renvoi de l'accusé réception...

Vendredi 24 mai 2013 : la réclamation à la Poste a produit un effet, je reçois ce jour l'avis d'accusé réception. La date de réception n'est plus le 6 mai, mais le 14 mai 2013 :








Il suffit de demander...

Tenace, La Poste continue d'enquêter et m'en informe :





Le 2ème et dernier rendez-vous avec le psychiatre Agapes d'Arménidjian (nom fictif). L'horloge de ma caméra cachée était déréglée, la date exacte est le 23 janvier 2013.


Mais suite à une LRAR de l'Hôpital Cochin qui clame "droit d'image", j'ai remplacé la vidéo par sa bande son :






http://patrice.henin.free.fr/2013_01_23psyEntier.mp3

De guerre lasse, Agapes d'Arménidjian (nom fictif) a donné l'autorisation de prendre de l'Interféron si besoin est, mais se dégage de l'affaire sans vraiment renoncer au fait que je dois être suivi.






La copie de l'ordonnance a été retirée suite à la honte que l'hôpital Cochin éprouve en considérant son logo vraiment peu artistique mais très intellectuel (l'hôpital m'accuse de contrefaçon du logo et viol de propriété intellectuelle, voir lettre ci-dessous !).
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Dernier rendez-vous avec le Dr G. Buzaglo-Braun, même remarques (7 mars 2013).

Comme un idiot j'avais oublié d'amener le bon dossier des examens, j'étais absolument persuadé que je les avais pris et ne comprenais pas où les résultats d'examen pouvaient bien être.

De quoi passer pour un dingue, cette fois :


Le visage de l'hépatologue présente plus d'intérêt que celui du psychiatre Agapes d'Arménidjian (nom fictif), elle n'a pas revendiqué le droit à l'image, mais j'ai tout de même remplacé la vidéo par la bande son pour ne pas risquer que sa secrétaire ne soit submergée de demandes de rendez-vous à caractère salace, libidineux, lubrique, concupiscent ou hépatique.


Vendredi 14 juin 2013

J'ai finalement retrouvé chez moi ces résultats, trop bien rangés et préparés bien à part depuis un mois. Je les ait postés le 9 mars 2013.

Je reçois enfin la réponse du Dr Buzaglo-Braun, postée le 11 juin 2013 :



Paris, le 31 mai 2013

Mr Hénin Patrice

29 rue des Meuniers

75012 Paris


Monsieur,


suite à votre courrier du 3 mai 2013, je vous informe que, comme je vous l'ai expliqué en consultation, je ne peux instaurer un traitement par Interféron pour l'hépatite C sans suivi psychiatrique, même si le Dr Agapes d'Arménidjian (nom fictif) est d'accord pour que l'on débute ce traitement (malheureusement, il ne peut assurer votre suivi).

Vous pouvez prendre RDV avec le psychiatre de votre choix, si vous êtes d'accord.

Concernant l'hépatite B, il faut poursuivre le traitement par Viréad même si la charge virale est négative (elle l'était déjà avant le début du traitement).


Par ailleurs, je me suis renseignée personnellement auprès du Centre Médico-Psychologique du 12ème arrondissement et, vous n'avez effectivement aucun suivi psychiatrique dans cet établissement, il s'agissait d'une erreur de leur part.

Ils ont en fait un dossier commun avec l'Hôpital de la Pitié-Salpêtrière et avaient donc votre nom enregistré, mais pour votre suivi en Pneumologie.

Je vous joins l'ordonnance pour les prochains bilans à réaliser. Je vais m'absenter pendant plusieurs mois, vous serez dons suivi par l'un de mes collègues (Dr Perrot, Dr Galeano ou Dr Massot).


Veuillez recevoir, Monsieur, l'assurance de mes sentiments les meilleurs.

Dr BUZAGLO-BRAUN

[signature]

Médecin  principal G. BUZAGLO

Spécialiste de Gastro Entérologie

Médecine Interne

HIA du Val de Grâce

75230 PARIS CEDEX

N° RPPS 10100031326










BON, ce n'est pas fini, arrivons au scandale qui tue (cancer du foie).

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Pour ceux qui seraient convaincus que c'est moi le fou qui s'ignore, qu'il serait donc impossible de soigner mon hépatite C avec Interféron sans l'aide indispensable d'un précieux psychiatre, voici un extrait de travaux effectués par des gens que je suppose plus sérieux que ceux qui ne soignent pas  mon hépatite C :

 "La constatation de troubles psychiatriques avant traitement ne doit pas constituer une contre-indication à la mise en route d’un traitement antiviral lorsque celui-ci est justifié par la sévérité de la maladie hépatique".




Comme promis, la suite !


Nous sommes maintenant le 6 juillet 2013.

J'ai donc 63 ans et 48 heures d'existence ainsi qu'un nouvel ennemi : l'hôpital Cochin.

L'adjointe au directeur Directrice du site Cochin s'offusque de cet article "Les fous du foie (échec)", par LRAR, elle est horrifiée par la vidéo de son psychiatre en pleine action de racolage.



Reçu le 30 juin 2013 :


ASSISTANCE PUBLIQUE HÔPITAUX DE PARIS

Hôpitaux Universitaires Paris Centre

COCHIN BROCA HÔTEL-DIEU

123 boulevard de Port-Royal

750679 Paris Cedex 14

Tél. : 01 58 41 10 13

Fax : 01 58 41 10 11


L'Adjointe au Directeur

Directrice du site Cochin

Réf : P12013048

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Paris le 28 juin 2013

Monsieur Patrice HENIN

29 rue des Meuniers

75012 Paris

Lettre recommandée avec accusé de réception


Objet : propos méprisants / Atteinte au droit à l'image / Contrefaçon de marque


Monsieur,


Il a été porté à ma connaissance que plusieurs pages Internet, dont les captures d'écran sont jointes au présent courrier, issues de sites web personnels que vous avez créés, accessibles via plusieurs moteurs de recherche, relatent, dans des termes manifestement méprisants à l'égard de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), les conditions dans lesquelles vous avez été pris en charge.


Il apparaît clairement, notamment à l'égard du personnel de l'AP-HP, expressément nommé (le Docteur Agapes d'Arménidjian (nom fictif).


En outre il ressort des pages que vous avez rédigées que vous avez gravement porté atteinte au droit à l'image du Docteur Agapes d'Arménidjian (nom fictif) en filmant en caméra cachée le second rendez-vous que celui-ci vous a accordé le 23 janvier 2013. Le film que vous avez réalisé a été diffusé à l'adresse suivante : http://youtu.be/IMP-eigp4mc .




Je vous rappelle qu'au titre de l'article 9 du code civil, le droit à l'image qui découle du droit au respect de la vie privée interdit la prise d'image sans le consentement libre et éclairé des personnes intéressées.

Par ailleurs, la prise d'image sur un lieu privé, est constitutive d'une infraction pénale punie d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende (article 226-1 du code pénal).
./...

Je vous indique enfin que le logo de l'AP-HP a fait l'objet d'un dépôt de marques semi figuratives auprès de l'Institut national de la Propriété Industrielle (numéro 3016450 et 1582201).

L'utilisation de ce logo sans autorisation de notre part (telle que figurant sur la vidéo et les images reproduisant les ordonnances de l'AP-HP) est constitutive d'une contrefaçon passible d'une peine de 4 ans d'emprisonnement et de 400 000 euros d'amende.

Il nous est également possible d'engager une action en responsabilité civile à votre encontre au titre des articles L.716-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle.

Pour toutes ces raisons, en application de la loi n°2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, je vous remercie de bien vouloir prendre les dispositions permettant de faire cesser cette diffusion, qui porte préjudice à la fois à l'AP-HP et, à titre personnel, au Docteur Agapes d'Arménidjian (nom fictif).



En particulier, vous voudrez bien :

- supprimer toute mention des nom et prénom du Docteur Agapes d'Arménidjian (nom fictif) sur les deux sites susmentionnés ;

- supprimer toutes les reproductions des ordonnances de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris sur les deux sites susmentionnés ;

- retirer le film diffusé à l'adresse : http://youtu.be/IMP-eigp4mc .



A défaut de confirmation par écrit de votre part, avant la date du 8 juillet 2013 (inclus) à l'adresse indiquée ci-dessus, de la suppression de ces pages Internet litigieuses d'ici le 15 juillet (inclus), je me verrais dans l'obligation d'entamer toute action utile devant les juridictions compétentes.

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'assurance de mes sentiments distingués.



[signature]

Hélène GILARDI



Copie : Madame laure BEDIER, Directrice des affaires juridiques

Pièces jointes : captures d'écran des pages internet litigieuses







Copie recto-verso de cette lettre provisoirement censurée, à cause du logo inesthétique et du nom du psychiatre racoleur :








Je dois répondre avant le 8 juillet dernier délai. Ma lettre est postée ce dimanche 8 juillet 2013, avec un jour de retard. Je risque gros pour ce crime, je n'en dors plus.

Voilà ce que ma vie de retraité paisible m'oblige à rédiger :

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Paris, le 8 juillet 2013

De Patrice Hénin, 29 rue des Meuniers, 75012 Paris, France

À Madame l’adjointe au Directeur Directrice du site Cochin
Hélène GILARDI
Hôpital Cochin, 123 boulevard de Port-Royal, 75679 Paris Cedex 14

Madame,

Suite à votre courrier en date du 28 juin 2013 et après avis de mon Conseil, je suspends provisoirement la diffusion de l'article incriminé "Les fous du foie (échec)".
La vidéo sera remplacée par sa bande son, le visage du psychiatre Agapes d'Arménidjian (nom fictif) n'étant d'aucun intérêt, plutôt ses propos impertinents qui démontrent à eux seuls sa véritable intention.

Cet article ainsi que le contenu de mon manuscrit électronique publié à l'adresse http://patricehenin.blogspot.com auraient dû vous alerter sur l'existence d'une association de malfaiteurs destinée à me nuire, qui cherche à me faire interner en psychiatrie ou même à me faire incarcérer.
Ceci sans raisons connues.
Il n'existe pour essayer de réaliser ce curieux projet que de multiples faux en écriture publique et déjà une fausse expertise psychiatrique (Marie-Elisabeth Meyer-Buisan).

Vos efforts pour essayer d'effacer les preuves par des arguments aussi ridicules qu'une supposée contrefaçon de votre logo démontrent que vous et le psychiatre Agapes d'Arménidjian (nom fictif) avez rejoint cette association.

Nous sommes donc en droit de vous en demander les raisons.

Article 450-1 : Constitue une association de malfaiteurs tout groupement formé ou entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d'un ou plusieurs crimes ou d'un ou plusieurs délits punis d'au moins cinq ans d'emprisonnement.

Lorsque les infractions préparées sont des crimes ou des délits punis de dix ans d'emprisonnement, la participation à une association de malfaiteurs est punie de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.

Lorsque les infractions préparées sont des délits punis d'au moins cinq ans d'emprisonnement, la participation à une association de malfaiteurs est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.

Toutefois :

Article 450-2 : Toute personne ayant participé au groupement ou à l'entente définis par l'article 450-1 est exempte de peine si elle a, avant toute poursuite, révélé le groupement ou l'entente aux autorités compétentes et permis l'identification des autres participants.

Le choix -1 ou -2 est vôtre. Vous recevrez copie de ma plainte par mon conseil :

Catherine R. Henin-Clark, P.A.
Board Certified in Immigration and Nationality Law
1151 N. Orange Ave., #200
Winter Park, Florida 32789
États-Unis

Mon manuscrit électronique a été créé pour alerter et informer le public.
J'ai prévu de le publier en 4 langues sous le titre "Une famille, deux siècles, trois mondes (l'ancien, le nouveau, le dernier".
Fondé sur la façon dont se déroule ma retraite, j'y développe des propositions politiques pour remédier à la disparition de l'état de droit.
Je l'utilise pour mobiliser contre la corruption et la barbarie qui se mondialise.

Avec des professeurs, économistes (comme André-Jacques Holbecq), scientifiques (comme Hubert Reeves), je travaille à résoudre le souci révélé par :



Matthews Stein
http://www.matstein.com/

Jacques Cousteau, Stephen Boyden et trop d'autres :


Fin.

Patrice Hénin a écrit et signe.
[signature]

+++++O+++++

Voici une étude, parmi d'autres, qui indique que "la constatation de troubles psychiatriques AVANT traitement ne dois pas constituer une contre-indication à la mise en route d'un traitement antiviral lorsque celui-ci est justifié par la sévérité de la maladie chronique".

Lu dans "Effets secondaires psychiatriques du traitement de l'hépatite chronique C ".


+++++O+++++

 Ne pas soigner une hépatite C virulente pour obtenir un cancer du foie, c'est maintenant possible grâce à la collaboration du Val de Grâce et de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

Voici le plus révoltant récit de ce blogue :

http://patricehenin.blogspot.fr/2014/06/ne-pas-soigner-une-hepatite-c-virulente.html

Il fallait s'y attendre, à force d'attendre (4 ans), le Dr Joseph MOUSSALI, mon nouvel hépatologue  de l'hôpital de la Pitiè-Salpêtrière m'annonce que j'ai trois nodules cancéreux au foie.

Une chimio-embolisation est prévue par le service chirurgie pour tuer trois nodules qui se sont formés dans mon foie, trois nodules détectés le 16 décembre 2014, soit 4 ans après avoir attendu un traitement toujours pas obtenu à ce jour (24 juin 2014).

Alors, je pose la question suivante au lecteurs de cet article :
EST-CE QUE JE SUIS FOU OU FOU DE RAGE ?

Commentez, SVP...

Je dépose une plainte en justice contre les fous du foie, publiée dans ce blogue sous le titre "Ne pas soigner une hépatite C virulente donne un cancer du foie"