samedi 22 septembre 2012

J'ai abandonné FaceBook pour la rue


J'ai abandonné FaceBook.
Mon "profil" n'apparaît plus dans le "carnet de faces", vous faites peut-être partie des 300 personnes intéressantes que j'y ai rencontré en 5 ans, sur 11 000 contacts + ou - amicaux qui sont dans mes carnets d'adresses persos.

Je ne peux contrôler les apparitions impromptues sur une page qui ne me reflète donc pas, mon mur est un mur de graffitis divers, les "amis" sont virtuels, la fréquentation de ces réseaux sociaux est trop chronophage.
Ces réseaux sont des démultiplicateurs d'ego qui désamorcent les contestation réelles en vous permettant de vous défouler confortablement, parfaitement isolé, loin des lieux vivants d'actions et réflexions : rue, meetings, conférences...
Je suis persuadé que ce bazar n'est pas le fruit du hasard.
Sans compter le fichage hyper-détaillé que vous donnez à vos faux amis, on ne sait qui se cache derrière un pseudo.

Commentez et inscrivez-vous sur mon site ou l'une de ses copies, seuls lieux m'appartenant réellement.

Je n'y fait profiter aucun publicitaire pour des sociétés qui précipitent peut-être la destruction de notre planète, raison de plus.
(En revanche, le billet "L'orchestre du Titanic" a été lu malgré sa longueur exceptionnelle et a bouleversé de nombreuses personnes. La conclusion cynique-logique rajoutée il y peu m'a valu pas mal de réactions.)
Merci de votre compréhension, monsieur Mark Zuckerberg : Montagne de sucre ou mieux Gros-tas-de-Sucreries en allemand. Il existe une montagne qui s'appelle Pain de sucre, au Brésil. Infestée de faces de boucs avec paires de fesses boucales.

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