mardi 31 juillet 2007

013 Lettre (3ème !) ouverte au cerveau lent du cap nègre


Lettre ouverte au président de la République
Paris et Internet, le 12 août 2009
Patrice Hénin
123 chemin des SDF (rue fictive, Monsieur le président)
75012 Paris
http://patricehenin.blogspot.com

Monsieur le président de la République,
Vous avez affirmé, aux côtés de M. le président Barack Obama, "... la France a une politique droite, honnête et conforme au droit international !".
C'est faux, la France n'est plus un état de droit.
J'ai découvert, au bout de 3 ans de procédures policière et judiciaire, que vous êtes, non pas le président d'une "
démocratie irréprochable", mais d'une véritable république "bananière".
J'aie ouïe dire que vous vouliez moraliser le capitalisme.
Alors, vous devriez vous intéresser à ce qui m'arrive.
Je suis convoqué le lundi 10 août 2009 par une "assistante sociale pénitentiaire de réinsertion" qui va me demander des preuves de recherches d'emploi, de logement, de soins médicaux (non précisés) correspondantes aux obligations auxquelles j'ai été condamné. Je suis condamné à 6 mois de prison ferme si je n'exécute pas ces 3 obligations.
Monsieur le président, j'irai à cette convocation, uniquement pour y rappeler que nul ne peut remplir des obligations absolument impossibles à exécuter.
J'ai été condamné le 5 septembre 2007, en mon absence, sans avocat, condamnation pourtant confirmée en appel le 2 juin 2008 (cette fois-ci en ma présence, mais toujours sans avocat), à trois obligations :
- trouver un logement et être assigné à résidence fixe.
Je suis locataire de mon appartement depuis 28 ans, Monsieur le président. Je n'ai pas l'intention de déménager.
Je ne vois pas pourquoi je devrais trouver un logement et y fixer résidence.
Je suis donc condamné à habiter chez moi.
Votre justice est devenue folle.
- trouver un travail.
J'ai travaillé toute ma vie, Monsieur le président. Aujourd'hui, je suis un handicapé déclaré inapte au travail depuis 2001, à cause d'un grave emphysème et d'une BPCO. Je suis mis en retraite d'office le 1er août 09 et j'ai déposé mon dossier de pension de retraite le 26 mai 09.
Je ne vois pas pourquoi je devrais trouver un travail sous peine d'aller en prison.
Je suis condamné à trouver une formation pour apprendre à tailler mes rosiers.
Votre justice est devenue débile.
- me soumettre à des soins médicaux obligatoires, non précisés, avec hospitalisation si nécessaire (bien sûr, nous y voilà).
Peut-être pour faire soigner une dangerosité décrite par des policiers spécialisés en faux, confirmée par une vraiment experte-psychiatre agréée par les services juridiques de mon frère, sis au Palais de Justice, 4 blvd du Palais 75001 Paris, sans procès ni avocat.
Je ne suis pas dangereux, Monsieur le président. Cela m'est physiquement impossible.
Je ne peux plus faire le moindre effort sans être essoufflé, avec 53% de poumons utiles.

Je suis donc condamné à faire soigner mes poumons, merci, on n'y avait pas pensé; à apprendre à tailler mes rosiers sans blesser personne.
Votre justice est devenue barbare à fin de corruption, parce que tout ceci, aussi insensé que cela est, a une raison.
Car tout ceci se rapporte à un courriel, que mon frère m'avait envoyé en juin 2004, dans lequel il m'écrivait avec assurance : "je te ferai interner le moment venu".
Une lettre de cachet.
Mon frère s'est présenté en avril 2006 dans un commissariat de mon quartier après m'avoir frappé comme un fou avec un vélo, dans la cour de ma mère.
Il a déclaré que j'étais dangereux pour ma mère, que je l'avais menacée de mort, parce que je voulais hériter plus vite de tout (!), que j'étais un vagabond type SDF, parasite de la société qui n'avait jamais travaillé de sa vie (à 57 ans !) et que donc il fallait me faire interner pour le bien de tous.
C'est une captation d'héritage fondée sur une série de diffamations ahurissantes.
Le fait qu'il parle d'héritage lors d'une déposition pour coups et blessures aurait dû mettre la puce à l'oreille des policiers de ce commissariat.
Au lieu de cela, les policiers ont créé les faux témoignages nécessaires.
Le fait que je sois la victime avec plaies et hématomes constatés par un médecin a été ignoré. Ils ont écrit que j'étais l'agresseur. Puis les juges ont entérinés, sans que je puisse être présent et me défendre.
Les avocats ne se sont jamais présenté, m'ont fuit. Une avocate (recommandée par ma candidate socialiste Sandrine Mazetier) m'a quand même reçu pour me prendre 600€ en espèces avant de disparaître. J'attends depuis 3 ans que ma désormais députée veuille bien alerter la Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité.
J'ai écrit à la police des polices.
Au bâtonnier des avocats.
Le fait que mon frère a déjà été condamné aux Etats-Unis pour violences physiques envers sa femme pendant leur divorce a été caché.
Les 4 dépositions du rapport de police qui décrivent la scène de l'altercation sont différentes !
Une experte-psychiatre qui déclare un handicapé respiratoire "dangereux, en particulier envers son frère..." !
Il me semble que l'on a surtout tenu compte du fait qu'il était millionnaire, franco-américain, promoteur immobilier en Floride ayant travaillé dans le groupe Bouygues comme Directeur Général.
J'ai raconté l'affaire dans mon blog politique, je vous ai envoyé un courriel à la présidence en juillet 2007. Pour toute réponse, mon blog a été suspendu, ma ligne TV Internet et téléphone coupée plus de trois mois sans explications.
Même un forum où j'avais lancé un débat sur les machines à voter a été interdit.
Je vous signale que mon frère a touché son chômage de 1993 à 1996 alors qu'il était promoteur immobilier en Floride.
Je l'ai hébergé quelques jours en 1995. Il avait pris l'avion pour répondre à une convocation de l'ANPE. Donc, copie de cette lettre (traduite par mes soins) a été transmise à la White House, au gouverneur de Floride et le consulat de France à Miami.
Expliquez aux français comment vous allez moraliser cela.
Puisque ce frère qui vit en Floride se faisait adresser son courrier chez moi, j'ai reçu son relevé de carrière. Ses 5 années de chômage (1985, 1993-1996) comptent dans le calcul de ses annuités.
Expliquez aux français comment vous allez moraliser cela.
Il ne m'est plus possible d'aller à la police, qui n'est pas policée, de faire intervenir des élus, qui sont tous soit corrompus ou se disent impuissants.
Parce que mon frère est intouchable.
S'il était arrêté, il se vengerait en parlant des transports de fonds nationaux et internationaux qu'il a effectué pour corrompre des hauts fonctionnaires, pendant qu'il travaillait chez Bouygues Immobilier. Et de bien d'autres choses qu'il me racontait à l'époque, pour m'épater !
Alors, au soulagement général, il a été décidé que je devais disparaître avec camisole chimique pour ne plus parler, écrire et publier.
Monsieur le président de la République, donnez une prime aux acteurs de mon drame, policiers, magistrats, avocats, notaires, élus...
Vous remettrez une Légion d'Honneur à mon frère, parce que je continue de recevoir des témoignages de ses escroqueries aux Etats-Unis, il se lève tôt le matin pour cela.
Cela le consolera de ne pas avoir pu embarquer la Légion d'Honneur de mon père et ses onze autres médailles pour orner son bureau d'escroc floridien. J'ai dû intervenir en pleine cérémonie lors des obsèques de mon père à la Chapelle Impériale de l'hôpital Bégin.
Quand je travaillais en Floride, des français locaux m'ont affirmé que mon frère faisait du trafic d'armes.
Si vous trouvez que mon histoire est normale, alors vous êtes aussi fou que votre police et justice sont folles.
Et vous perdez toute légitimité, en laissant de tels policiers, magistrats et avocats aider cet escroc franco-américain à "prospecter" des investisseurs français pour les ruiner.
Si vous êtes incapable de me rendre justice, sur ordre de mon frère, ex-porteur de votre ami Bouygues, alors vous n'êtes pas légitime.
Monsieur le président, démissionnez, ou abdiquez, comme vous voulez, mais partez !
Je demande aux lecteurs de ce courriel d'écrire au :
Président de la République
55 rue du faubourg Saint-Honoré
75008 Paris (libre d'affranchissement)
ou au juge d'application des peines Catherine Bares 01 44 32 70 97 12-14 rue Charles Fourier 75648 Paris. Elle m'a fait convoquer le 10 août 2009 à 15h.
Ecrivez à la
Cour Européenne des Droits de l'Homme
Conseil de l'Europe
F-67075 Strasbourg
pour qu'elle passe en urgence ma requête numéro 32405/08 du 13 janvier 09.
Et vous, les médias, en particulier Le Monde (01 57 28 20 00), Libération (01 42 76 17 89) et Le Parisien (01 40 10 30 30) qui ont reçu cette même lettre en recommandée et en ont accusé réception : PUBLIEZ !
A qui donc puis-je m'adresser, si ce n'est à l'opinion publique ? Vous devez faire votre devoir de journalistes.
Monsieur le président, la République, ce n'est pas à vous, c'est à nous.
Messieurs les amis des amis du président, nous avons élu ce président pour servir la République, pas simplement vous.
Je vous prie d'imaginer, Monsieur le président, l'expression de mes sentiments.
Patrice Hénin
http://patricehenin.blogspot.com (en reconstruction)
http://patricehenin.over-blog.com/ (blog politique + dénonciation. suspendu. Pour dangerosité ?)
http://patricehenin.blogspirit.com/ (blog politique + dénonciation. suspendu)
http://www.xooit.com/app/forum-inexistant.php?lang=fr&forum=patricehenin.xooit.com&uri=%2Findex.php (forum "machines à voter". suspendu : pour dangerosité ?)
http://patrice-henin.magix.net/ (album photo familial créé parce que la famille est séparée par l'océan. Suspendu et quelques photos perdues : pour diffamation ?)
http://patrice.henin.free.fr/Scans%20pieces%20proces
/ (photocopies au format .JPG des pièces des procès, rapport de police, lettres, etc.)


De 0 - Scans procès
Cette fois-ci, j'envoie en recommandé avec accusé réception. L'affranchissement reste gratuit, c'est déjà ça.

Aujourd'hui 17 août 2009, en relisant ce texte, j'attends toujours l'accusé de réception.
L'omniprésent président est en vacances au Cap Nègre.
Que fait un omni-président présentement en vacances ?
Il préside.
Le syndic d'une pauvre grand-mère pour un problème d'égoût.

Pour rendre son sens à la justice insensée, pas pendant les vacances. C'est un plus compliqué, il y a du boulot. Mais pour l'odeur, ça ne le changera pas des égoûts du Cap.

Je mettrai la copie de l'accusé de réception dès sa réception. Promis !

Ben justement, je l'ai reçu ce matin 18 août 09 :

De Who dares wins (qui ose gagne)

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Suite : 0015 Courriel à l'UMP
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lundi 30 juillet 2007

012 Copy of an open letter to the french president Sarkozy

Original French e-book: http://patricehenin.blogspot.com
Spare site of rescue, with French radio broadcast from IDFM98 and French book in PDF format: http://patricce.henin.free.fr

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Copy of an open letter to the french president Sarkozy
Paris, France, on June 3rd, 2009
Patrice Hénin
29 rue des Meuniers
75012 Paris
France
+33 1 43 42 19 76


Mr. President of the Republic

You said, in front of President Barak Obama, "... France has a right, honest and consistent with international law."
That's wrong, France is no longer a rule of law.
I discovered, after 3 years of police and judicial procedures, that you are not the President of an "irreproachable democracy", but a true "banana" republic.
I hearing that you want to moralize capitalism.
So you should be interested in what happens to me.
Anyone familiar with my case were appalled by this judicial machination mounted to eliminate me and my mother. For money. And to my brother and my sister, who live in Florida.
I convened on Thursday 28 May 2009 by the magistrate who will explain how to perform the obligations to which I was convicted. I am sentenced to 6 months in prison if I fail the 3 bonds.
Mr. President, I won't go to this convocation. You can send your cops, I will not have arms, as in the famous song. I am not a deserter, I respect the law and its obligations.
But no one can fulfill obligations absolutely impossible to perform.
I was sentenced on 2 June 2008 by the Court of Appeal three obligations:
- Find a home and be assigned to residence.
I am a tenant in my apartment for 28 years, Mr. President.
I do not intend to move.
I do not see why I should find a home and home set.
Your justice is crazy.
- Find a job.
I worked all my life, Mr. President.
Today I am a disabled person declared unfit for work since 2001 due to severe emphysema and Chronic bronchitis.
I put in retirement on 1 August 09 and I filed my case pension on 26 May 09.I do not see why I have to find a job under threat of jail.
Your justice is crazy.
- I submit to compulsory medical care, with hospitalization if necessary.
To treat a "dangerousness" invented by an expert psychiatrist, without trial or counsel.
I am not dangerous, Mr. President. This is physically impossible to me.
I can not make the slightest effort without being short of breath, with 53% of lung useful.
All this relates to an email that my brother sent to me in June 2004, in which he wrote: "I will put you in a psychiatric hospital the time".
A letter "de cachet".
My brother went in April 2006 in a police station in my neighborhood after hit me like a madman with a bicycle in the courtyard of my mother.
He said that I was dangerous for my mother, that she had received death threats from me, because I wanted to inherit everything faster, that I was a vagabond, that I was a parasite of society who had never worked in his life (57 years!) and that therefore they should send me in an psychiatric hospital for the good of all.
It is a collection of inheritance based on a series of defamatory numbing.
The fact that he speaks of inheritance in a deposition for assault should alerts the policemen.
Instead, the officers created false evidence needed.
The fact that I am the victim with wounds and bruises found by a doctor was ignored. They wrote that I was the aggressor.
Then the judges agreed, but I can defend or be present.
Lawyers are never presented and avoided me. A lawyer has still received me, take me for € 600 before disappearing.
Waiting for 3 years that my MP representative wanted to alert the National Commission of Ethics of Security.
I wrote to the police of the police. Dean lawyers. To all elected officials.
The fact that my brother has already been convicted in the United States for physical violence against his wife during their divorce has been ignored.
The 4 testimonies of the police report describing the scene of the altercation are different!
An expert psychiatrist says a disabled respiratory "dangerous, especially to his brother ..." !
It seems to me that it was especially taken into account the fact that he was a millionaire, Franco-American real estate developer in Florida who worked in the group Bouygues as Director General.
I told the case in my political blog, I sent you an email to the presidency on July 2007.
In response, my blog has been suspended, my line Internet TV and telephone cut off more than three months without explanation.
Even a forum where I launched a debate on the voting machines was prohibited.
I said that my brother touched his unemployment from 1993 to 1996 when he was a real estate developer in Florida. I hosted him a few days in 1995. He flew to respond to a summons by the Jobless Center.
Explain to french how you go moralizing that.
Since this brother who lives in Florida was sending his letter to my home, I was informed of his retirement calculation career. His four years of unemployment count in calculating his annuity.
Explain to french how you go moralizing that.
I can not go to the police, which is not policed, to involve elected officials, all of which are either corrupt or powerless themselves.
Because my brother is untouchable.
If he was arrested, he retaliate by talking about the transport of national and international funds he has done to corrupt officials while working at Bouygues Immobilier.
So, for the general relief, it was decided that I should disappear with chemical straitjacket, no longer speaking, writing and publishing.
So I sought help elsewhere in the country of Human Rights.
On 07 June 2008, I was received by the First Secretary of Embassy of China to explain that human rights were violated in France, and to publish my case. He asked me copies of written evidence that proves that the President of the French Republic covers violations of human rights in his country.
I gave him the access codes on the blog, so that it can access the new items despite the suspension.
Since my visit in China, "Mr. President, you have waived your requirement that the Chinese government should receive and speak with the Dalai Lama. You have given to see him. Today, your foreign minister tell that the Secretariat of Human Rights "is a mistake.".
Mr. President, I suspect you of high treason.
Mr. President, give a bonus to players in my drama, policemen, judges, lawyers, notaries, elected ...
You hand them a Legion of Honor, because I continue to receive testimonies of scams in the United States, he awakes early in the morning for that.
When I worked in Florida, I was told that my brother was doing trafficking of weapons.
If you find that my story is normal, then you are as crazy as your justice is crazy.
And you lose all legitimacy, leaving the police and justice help crooks "prosper."
I await your gendarmes, Mr. President.
If you are unable to get justice, because my brother forbids you, then you are no longer legitimate.
Mr. President, resign or abdicate, as you want, but go!
http://www.lepost.fr/sondage/2009/03/25/1470133_sarkozy-doit-il-demissionner.html
I ask readers of this email not be considered a "spam", but as a bottle to the Internet.
Ask for explanation to Sarkozy, or magistrate Catherine BARES +33 1 44 32 70 97, 12-14 rue Charles Fourier 75648 Paris, France. She convenes May 28 2009 at 10:30.
Write to the European Court of Human Rights to urgently pass my complaint number 32405/08 of 13 January 09.
And you, the media, publish !
So Who do I contact, if not the public opinion?
Mr. President, the Republic is not yours, it's ours.
Please accept, Mr. President, the assurances of my respectful.
Patrice Henin
http://patricehenin.blogspot.com (under construction)

http://patricehenin.over-blog.com
/ (political blog + denunciation. Forbidden)

http://patricehenin.blogspirit.com
/ (political blog + denunciation. Forbiddenblog)

http://www.xooit.com/app/forum-inexistant.php?lang=fr&forum=patricehenin.xooit.com&uri=%2Findex.php (forum "voting machines". Forbidden)

http://patrice-henin.magix.net/ (family photo album created because the family is separated by the ocean. Forbidden and pictures lost)
http://patrice.henin.free.fr/Scans%20pieces%20proces/ (trial documents copies .jpg)


dimanche 29 juillet 2007

011 Lettre ouverte (2ème !) au président de la République


Lettre ouverte au président de la République
(In approximate English here)
Paris et Internet, le 27 mai 2009
Patrice Hénin
75012 Paris

Monsieur le président de la République,
Vous avez affirmé, aux côtés de M. le président Barack Obama, "... la France a une politique droite, honnête et conforme au droit international !".
C'est faux, la France n'est plus un état de droit.
J'ai découvert, au bout de 3 ans de procédures policières et judiciaire, que vous êtes, non pas le président d'une "démocratie irréprochable", mais d'une véritable république "bananière".
J'aie ouïe dire que vous voulez moraliser le capitalisme.
Alors, vous devriez vous intéresser à ce qui m'arrive.
Tous ceux qui connaissent déjà mon affaire sont révoltés par cette machination judiciaire destinée à m'éliminer, moi et ma mère. Pour du fric. Au profit de mon frère et de ma soeur, qui vivent en Floride.

Je suis convoqué le jeudi 28 mai 2009 par le juge d'application des peines qui va m'expliquer comment exécuter les obligations auxquelles j'ai été condamné. Je suis condamné à 6 mois de prison ferme si je n'exécute pas ces 3 obligations.

Monsieur le président, je n'irai pas à cette convocation. Vous pouvez envoyer vos gendarmes, je n'aurai pas d'armes, comme dans la chanson. Je ne suis pas un déserteur, je respecte la loi et ses obligations.
Mais nul ne peut remplir des obligations absolument impossibles à exécuter.
J'ai été condamné le 2 juin 2008 par la cour d'appel à trois obligations :
- trouver un logement et être assigné à résidence fixe.
Je suis locataire de mon appartement depuis 28 ans, Monsieur le président. Je n'ai pas l'intention de déménager.
Je ne vois pas pourquoi je devrais trouver un logement et y fixer résidence.
Votre justice est folle.
- trouver un travail.
J'ai travaillé toute ma vie, Monsieur le président. Aujourd'hui, je suis un handicapé déclaré inapte au travail depuis 2001, à cause d'un grave emphysème et d'une BPCO.
Je suis mis en retraite d'office le 1er août 09 et j'ai déposé mon dossier de pension de retraite le 26 mai 09.
Je ne vois pas pourquoi je devrais trouver un travail sous peine d'aller en prison.
Votre justice est folle.

- me soumettre à des soins médicaux obligatoires, avec hospitalisation si nécessaire.
Pour faire soigner une "dangerosité" inventée par une experte-psychiatre, sans procès ni avocat.
Je ne suis pas dangereux, Monsieur le président. Cela m'est physiquement impossible.
Je ne peux plus faire le moindre effort sans être essoufflé, avec 53% de poumons utiles.
Tout ceci se rapporte à un courriel, que mon frère m'avait envoyé en juin 2004, dans lequel il écrivait : "je te ferai interner le moment venu".
Une lettre de cachet.
Mon frère s'est présenté en avril 2006 dans un commissariat de mon quartier après m'avoir frappé comme un fou avec un vélo, dans la cour de ma mère.
Il a déclaré que j'étais dangereux pour ma mère, que je l'avais menacée de mort, parce que "je voulais hériter plus vite de tout" (!), que j'étais un vagabond type SDF, parasite de la société qui n'avait jamais travaillé de sa vie (à 57 ans !) et que donc il fallait me faire interner pour le bien de tous.
C'est une captation d'héritage fondée sur une série de diffamations ahurissantes.
Le fait qu'il parle d'héritage dans une déposition pour coups et blessures aurait dû mettre la puce à l'oreille des policiers de ce commissariat.
Au lieu de cela, les policiers ont créé les faux témoignages nécessaires. Le fait que je sois la victime avec plaies et hématomes constatés par un médecin a été ignoré. Ils ont écrit que j'étais l'agresseur. Puis les juges ont entérinés, sans que je puisse me défendre ou être présent.
Les avocats ne se sont jamais présenté, m'ont fuit. Une avocate m'a quand même reçu pour me prendre 600€ en espèces avant de disparaître. J'attends depuis 3 ans que ma députée veuille bien alerter la Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité. J'ai écrit à la police des polices. Au bâtonnier des avocats.
Le fait que mon frère a déjà été condamné aux Etats-Unis pour violences physiques envers sa femme pendant leur divorce a été ignoré.
Les 4 dépositions du rapport de police qui décrivent la scène de l'altercation sont différentes !
Une experte-psychiatre déclare un handicapé respiratoire "
dangereux, en particulier envers son frère..."
Il me semble que l'on a surtout tenu compte du fait qu'il était millionnaire, franco-américain, promoteur immobilier en Floride ayant travaillé dans le groupe Bouygues comme Directeur Général.
J'ai raconté l'affaire dans mon blog politique, je vous ai envoyé un courriel à la présidence en juillet 2007. Pour toute réponse, mon blog a été suspendu, ma ligne TV Internet et téléphone coupée plus de trois mois sans explications.
Même un forum où j'avais lancé un débat sur les machines à voter a été interdit.
Je vous signale que mon frère a touché son chômage de 1993 à 1996 alors qu'il était promoteur immobilier en Floride.
Je l'ai hébergé quelques jours en 1995. Il avait pris l'avion pour répondre à une convocation de l'ANPE.
Expliquez aux français comment vous allez moraliser cela.
Puisque ce frère qui vit en Floride se faisait adresser son courrier chez moi, j'ai reçu son relevé de carrière. Ses 4 années de chômage comptent dans le calcul de ses annuités.
Expliquez aux français comment vous allez moraliser cela.
Il ne m'est plus possible d'aller à la police, qui n'est pas policée, de faire intervenir des élus, qui sont tous soit corrompus ou se disent impuissants.
Parce que mon frère est intouchable.
S'il était arrêté, il se vengerait en parlant des transports de fonds nationaux et internationaux qu'il a effectué pour corrompre des hauts fonctionnaires, pendant qu'il travaillait chez Bouygues Immobilier. Et de bien d'autres choses qu'il me racontait à l'époque, pour m'épater !
Alors, au soulagement général, il a été décidé que je devais disparaître avec camisole chimique pour ne plus parler, écrire et publier.
J'ai donc cherché l'aide ailleurs que dans le pays des Droits de l'Homme.
Le 07 juin 2008, j'ai été reçu par le premier secrétaire d'ambassade de Chine pour lui expliquer que les droits de l'homme étaient bafoués en France et lui demander de publier mon affaire.
Il m'a demandé les copies des pièces du dossier qui prouve que le président de la République française couvre des atteintes aux droits de l'homme dans son pays.
Je lui ai donné les codes d'accès du blog, pour qu'il puisse accéder aux nouveaux articles malgré la suspension.
Depuis ma visite "en Chine", Monsieur le président, vous avez renoncé à exiger du gouvernement chinois qu'il reçoive le Dalaï-Lama.
Vous avez renoncé à le rencontrer.
Aujourd'hui, vous faites dire à votre ministre des affaires étrangères que le Secrétariat des Droits de l'Homme "est un erreur".
Monsieur le président de la République, je vous soupçonne de haute trahison.
Monsieur le président de la République, donnez une prime aux acteurs de mon drame, policiers, magistrats, avocats, notaires, élus...
Vous remettrez une Légion d'Honneur à mon frère, parce que je continue à recevoir des témoignages de ses escroqueries aux Etats-Unis, il se lève tôt le matin pour cela.
Quand je travaillais en Floride, on me disait que mon frère faisait du trafic d'armes.
Si vous trouvez que mon histoire est normale, alors vous êtes aussi fou que votre justice est folle.
Et vous perdez toute légitimité, en laissant la police et la justice aider des escrocs à "prospérer".
J'attends vos gendarmes, Monsieur le président.
Si vous êtes incapable de me rendre justice, sur ordre de mon frère, alors vous n'êtes plus légitime.
Monsieur le président, démissionnez, ou abdiquez, comme vous voulez, mais partez !
Je demande aux lecteurs de ce courriel de ne pas le considérer comme un "spam", mais comme une bouteille à l'Internet. Demandez l'explication à Sarkozy, ou au juge d'application des peines Catherine BARES 01 44 32 70 97, 12-14 rue Charles Fourier 75648 Paris. Elle me convoque le 28 mai 2009 à 10h30.
Ecrivez à la Cour Européenne des Droits de l'Homme pour qu'elle passe en urgence ma requête numéro 32405/08 du 13 janvier 09.
Et vous, les médias, publiez.
A qui donc puis-je m'adresser, si ce n'est à l'opinion publique ?
Monsieur le président, la République, c'est pas à vous, c'est à nous.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'expression de mes sentiments respectueux.

Patrice Hénin
http://patricehenin.blogspot.com (en construction)

http://patricehenin.over-blog.com/ (blog politique + dénonciation. suspendu)

http://patricehenin.blogspirit.com/ (blog politique + dénonciation. suspendu)

http://www.xooit.com/app/forum-inexistant.php?lang=fr&forum=patricehenin.xooit.com&uri=%2Findex.php (forum "machines à voter". suspendu)

http://patrice-henin.magix.net/ (album photo familial créé parce que la famille est séparée par l'océan. Suspendu et photos perdues)
http://patrice.henin.free.fr/Scans%20pieces%20proces/ (photocopies au format .JPG des pièces des procès, rapport de police, lettres, etc.)
CETTE LETTRE A ÉTÉ ENVOYÉE EN LETTRE RECOMMANDÉE AVEC ACCUSÉ DE RECEPTION AUX QUOTIDIENS LIBÉRATION, LE MONDE, LE PARISIEN
AINSI QU'À ZONE DE DROIT PARIS XII, LA LIGUE DES DROITS DE L'HOMME FRANCE.
La main-mise de la caste sarkozyenne est complète, grâce aux pleutres.

De 0 - Scans procès

samedi 28 juillet 2007

010 Courriel à un conseiller régional

Bonjour,

je suis un ex-militant PS (2006-07-08) et j'ai été enthousiasmé par la création du PG où il m'a fallu 2 mois avant de partir dégoûté par le manque de démocratie.
Il s'agit d'un club fermé à usage électoral unique, qui sera très certainement dissous en novembre.

Je garde des contacts avec les économistes comme Jacques Généreux, Christophe R., par exemple.

Mais je vous contacte, en tant que Lorrain d'origine, mais né à ... Dakar (père de Mussey, ancien FFL-SAS, cdt Gilbert Hénin, Croix de guerre, légion d'honneur...).

Parce que je suis poursuivi par la justice de mon pays, pour plaire à mon frère qui a décidé de me faire interner en psychiatrie.
Lui ne pense qu'à jouir de son pouvoir d'ami de Bouygues, et capter mon héritage, m'éliminer afin de pouvoir dépouiller ma mère de son vivant.

L'état, lui, veut faire taire quelqu'un qui en saurait trop, et veut montrer qui sont les gens respectables ici : les escrocs et corrupteurs, et qui commande : sa police et ses juges, expliqués par ses médias.

Ma requête N° 32405/08 a été accepté par la Cour Européenne es droits de l'homme. 4 ans de délais ! On saura donc dans 4 ans ce que vaut l'Europe, question justice.

Le fait que tant de flics aient acceptés de se prêter à cette ignominie, que la justice entérine, est symptomatique de l'état de la république actuelle.

Et du pouvoir absolu de cet état, contre même la raison, qui n'est plus de mise.

Pourquoi je dis ça ? Parce qu'entre autre, je suis condamné à trouver un travail alors que je suis déclaré inapte au travail et en plus à la retraite d'office dans 2 mois !!
Mon frère a dit au commissariat que je n'avais jamais travaillé de ma vie, et la folie collective s'empare des commissariats et des cours !

Il y en a qui appellent cela le pays des droits de l'homme.

Alors comment c'est ailleurs ?
J'ai eu le culot-colère de franchir les barrières de l'ambassade de la République Populaire de Chine pour le leur demander, mais ceci est une autre histoire.

Condamné à trouver un logement, alors que je suis locataire de mon appartement du 1% patronal depuis 28 ans. Il a dit que j'étais un vagabond.

Demandez l'explication à Sarkozy, ou au juge d'instruction Catherine BARES 01 44 32 70 97, 12-14 rue Charles Fourier 75013 Paris. Elle me convoque le 28 mai 2009.

Nous en sommes revenus aux lettres de cachet, mon frère avait poussé la plaisanterie jusqu'à m'envoyer un courriel en juin 2004, un an avant le décès pressenti de mon père, dans lequel il m'écrivait : "je te ferai interner le moment venu" : une lettre de cachet.

Pour moi, c'est la fin de la civilisation, j'ai tout compris des politiciens, du capitalisme et malheureusement des magistrats, avocats (ils ont tous refusé de me défendre, même une avocate socialiste m'a reçu pour encaisser 600€ en liquide pour ensuite me fuir tous les moyens .

Non, je ne suis pas encore devenu fou.
mon adresse courriel (pour dons, soutiens, encouragements, menaces de mort...) :
patrice.henin CHEZ gmail.com

Cordialement

vendredi 27 juillet 2007

009 Dénonciation aux élus

Dénonciation
Paris, le 27 juin 2008
Madame, Monsieur,
Ci-joint copie du pourvoi en cassation d'un jugement qui m'a condamné à être "soigné" en hôpital psychiatrique pour "dangerosité" affirmée par une expert-psychiatre auprès des tribunaux.
Ceci afin de m'empêcher de décrire les dysfonctionnement de nos institutions qui veulent m'empêcher de parler d'une corruption de fonctionnaires au plus haut niveau.
Vous recevez ces documents parce que vous avez été choisi comme responsable pour servir une cause politique que vous pensez la meilleure pour notre société.
Ou parce que vous êtes responsable d'un canal d'information à l'intention de notre population.
Vous pensez peut-être comme nous tous "que l'on interne pas les gens comme cela...".
Ou vous êtes persuadé, comme nous tous, qu'il est impossible de maintenir, construire ou diriger un pays en faisant fi de la probité, ou en ne luttant pas contre la corruption sous toute ses formes, partout où elle se manifeste.
La corruption se manifeste déjà en choisissant de se taire.
L'aventure judiciaire que je vis depuis deux ans m'a démontré que :
- la corruption est généralisée, à tous les échelons de nos institutions;
- les partis politiques de tous bord se sont adaptés à cet "état" de fait, et cherchent à m'écarter plutôt que de m'aider à rétablir une justice indépendante
- les médias n'informent pas, ou pire, ils désinforment, donc ignorent mes dénonciations et appels au secours...
Vous n'êtes pas de ceux-là.
Merci donc de votre compréhension, qui sera suivie d'actions pertinentes dans le sens de nos valeurs communes et universelles.
A commencer par l'exigence de la réouverture au public des écrits de mon blog http://patricehenin.blogspirit.com
J'assume l'entière responsabilité de mes textes, et leur véracité.
Lancez une pétition d'envergure européenne à ce sujet.
Merci pour nous tous, de France ou d'ailleurs.
Patrice Hénin patrice.henin@free.fr
29 rue des Meuniers http://patricehenin.over-blog.com
75012 Paris - France (recopie en cours du blog suspendu)


jeudi 26 juillet 2007

008 Lettre à Monsieur le président de la République

Paris, le 11 août 2007.

Monsieur le Président de la République,

Je vous demande de profiter de votre présence aux Etats-Unis, et de vos relations, pour vous faire aider par les patrons de Google, des fabricants et contempteurs de "Stun Guns" (matraques électriques), des fabricants et contempteurs des machines à voter, du groupe immobilier Henin, pour éclaircir publiquement les points suivants.

STUN GUNS

Je vous demande de vérifier que le fournisseur de "Stun Guns" Panther (http://www.pantherstunguns.com/) a bien vendu et expédié par voie postale à mon adresse, 29 rue des Meuniers 75012 Paris France, un "Stun Gun", courant 2005, commandé sur leur site Internet.

Je vous demande de lui faire préciser depuis quand et pourquoi il n'expédie plus de matraques électriques en France.

Je vous demande de féliciter ce même fournisseur pour ne plus expédier ce produit en France, car si je m'étais procuré cet objet dans une armurerie française, l'armurier m'aurait expliqué que je ne devais pas porter cette arme d'auto-défense sur moi, à l'instar des bombes lacrymogènes.
Je l'ignorais lorsque j'ai commandé cette matraque.

MACHINES A VOTER

Je vous demande, après avoir étudié les sites suivants, liste non exhaustive, d'exercer dans "une démocratie irréprochable", d'appliquer le principe de précaution en prohibant l'emploi des machines à voter.

Il est dommage que la Constitution française, à moins que je me trompe, ne puisse vous permettre de réorganiser des élections partielles dans tous les bureaux de vote qui ont utilisés ces machines lors des élections présidentielles (vous n'aviez obtenu que 53%) du 6 mai dernier.

Les sondages actuellement diffusés sur les chaînes d'information en France indiquent que le niveau de confiance à votre égard est de 63%.
Je vous en félicite, et je pense que vous feriez encore monter ce niveau de confiance en réorganisant ces élections partielles.

Je crois que le plus tôt serait le mieux.
Cf.:
http://www.journaldunet.com/solutions/expert/11300/les-programmes-des-ordinateurs-de-vote-doivent-etre-des-logiciels-libres.shtml
http://ordinateurs-de-vote.org/Detournement-d-ordinateur-de-vote.html
http://www.sciences.univ-nantes.fr/info/perso/permanents/enguehard/perso/note_technique.pdf
http://multitudes.samizdat.net/article1729.html
http://ecotalk.org/UrosevichBrothers.htm

et tant d'autres…

INTERNET – BLOG – VIRUS

Pour le mois de juin 2007, les statistiques détaillées de mon blog, http://patricehenin.blogspirit.com, indiquaient, que les mots clefs :
"j~e_s~u~c~e_m~o~n~_n~e~v~e~u" (sans les guillemets, pourcentage de fréquence 6%), et :
"j'~_ a~i~_e~n~v~i~e_d~e_s~u~c~e~r_m~o~n_p~e~r~e" (sans les guillemets, pourcentage 4%)
permettaient de trouver mon blog, en quatrième position pour le premier jeu, dans les résultats de recherche Google.

Voici la réponse de mon hébergeur Blogspirit :

"From: Philippe PINAULT [philippe@blogspirit.fr]
Sent: dimanche 8 juillet 2007 12:46
To: patrice.henin@free.fr
Subject: RE: [blogger]BlogSpirit Contact form
Bonjour,
Voici la raison : votre blog apparaît en 4eme position mais sur un mix de mot clef et non sur l’expression exacte.
Nous ne sommes malheureusement pour rien dans l’algorithme de recherche de Google et nous ne pouvons rien faire à notre niveau.
Sinon, il vous faut supprimer la note qui a rendu possible ce résultat sur cette expression.
Cordialement".

Peut-être que vous pourriez faire quelque chose, à votre niveau.

Je vous demande de vous informer sur les travaux de la CNIL en ce qui concerne le problème du traçage de l'origine de la demi-douzaine de virus quotidiens qui envahissent la boîte de réception de mon adresse courriel patrice.henin@free.fr.

Ceci m'amène à penser à mon problème "personnel", les différents qui m'opposent à mon petit frère J. L. H. et ma petite sœur C. H.-C., devenus américains et qui vivent en Floride.

GROUPE IMMOBILIER H. – ATTORNEY C. H.-C.

J. H.
861 Bonita Drive
Winter Park, FL 32789
1 407 644 8595
http://www.heninrealty.com/
http://www.henin-co.com/
http://www.henin-co.com/WWW/pages/contactez-nous.html
http://www.heninsignaturehomes.com/

C. H.-C.
789 Bonita Drive
Winter Park, FL 32789
1 407 539 0102

Work: C. H.-C., P.A.
228 Annie Street
Orlando, FL 32806
1 407 426 2096

ont expliqué à ma mère que le testament américain de mon père ne m'empêcherait pas d'hériter du tiers des ses biens américains. Ce n'est pas le cas.

Elle aurait dû au moins déclarer ses biens mobiliers, actuellement stockés chez mon frère, et le compte bancaire à la National Bank d'Orange City, où mon père avait eu le temps de déposer le fruit de la vente de sa villa à Deltona, FL. :
Bank of America
2461 Enterprise Rd
Orange City, FL 32763
1 386 775 9280

Je m'en suis plaint auprès de la Chambre des Notaires à Paris, qui m'a conseillé de prendre un avocat.

Vous êtes avocat, et en relisant le dépliant que vous avez adressé à tous les français, vous êtes le président de tous les français, "y compris des laissés pour compte".

Je ne suggère rien d'autre que l'application de la convention entre la France et les Etats-Unis, signée à Washington le 24 novembre 1978, ratifiée par la loi n° 80-452 du 25 juin 1980.

Ma mère souhaiterait vendre son appartement et ses deux terrains en Floride, ils lui ont expliqué que ce n'était pas possible. Cela ne sera jamais possible, j'en ai bien peur.
http://www.ocpafl.org/pls/webappI/get_parcel_by_owner
http://www.putnam-fl.com/patc.inq/tc/name-lookup.pl

Plutôt que d'appliquer cette Convention, il serait plus sympathique de la part de mon frère d'acheter cet appartement de luxe situé en downtown Orlando, Florida, et ces deux terrains, puisqu'il est millionnaire en dollars US, et puisque ma mère a décidé de vivre à Paris pour le restant de ses jours.

Ma mère n'a pas à craindre l'I.S.F., j'ai fait le calcul.
Mon frère et ma sœur ont fait un autre calcul.

Que ma mère ne jouisse donc pas de ses biens, mais qu'elle continue à payer les taxes américaines.

Mon père n'a pas laissé d'assurance-vie à ma mère, mais lui a laissé 900€ de dettes mensuelles à payer jusqu'en 2011.
Qu'elle se débrouille donc pour payer.
Et sans toucher les 1000$ de la location de son appartement d'Orlando : "cela ne se loue plus". Cela ne sera jamais loué, j'en ai bien peur.

Ma sœur cherche à convaincre ma mère de revendre ses deux appartements en France, pour acheter une villa dans le Lubéron, à Gordes. C'est un endroit très prisé des américains.
Elle compte prendre sa retraite en France. Elle me l'avait dit et écrit, du temps où elle me parlait.

Quant à moi ?

J'ai reçu de la part de mon frère un courriel à l'adresse phenin@noos.fr, dans lequel il écrit textuellement "je te ferai interner le moment venu".
Il vous est possible d'obtenir une copie de ce courriel envoyé entre mai et juillet 2004. Tout est enregistré aux Etats-Unis, depuis septembre 2001.

Puis, après le décès de mon père, il y a eu cette altercation entre lui et moi, dans la cour de ma mère, à Paris.
Puis l'attitude des policiers, qui salit l'image de notre police. Suivre l'idée de mon frère.
Puis, la décision d'UNE médiatrice, pourtant déléguée auprès du Procureur de la République, qui salit notre image de la Justice. Suivre l'idée de mon frère.

J'ai donc commencé à raconter ce que je sais sur mon frère, dans mon blog.

C'est ma défense, et cela explique très certainement cette invasion de virus depuis trois mois.
On comprend facilement en le lisant, pourquoi envoyer des virus plutôt qu'une plainte en diffamation.
Parce que tout est vrai.

Il me reste à découvrir la décision de la Juge de la 16ème Chambre Correctionnelle, le 7 septembre 2007.
Elle a déjà ordonné un examen psychiatrique, auquel je me suis présenté, pour voir jusqu'où allait la plaisanterie.
Je veux savoir jusqu'où cette affaire (N° 0618408076), suivra l'idée de mon frère.

Et aussi pourquoi j'ai reçu le 30 janvier un avis de classement sans suite d'une affaire N° 0628470119, du Service S2 FRAUDES ET MOYENS DE PAIEMENT pour une plainte que je n'ai jamais déposée !

Alors, si personne ne demande à mon frère des explications, sur ce qui s'est réellement passé, et pourquoi il veut me faire interner, alors peut-être que j'aurai le temps de lire ce fameux courriel, d'où j'ai tiré le titre du feuilleton inclus dans mon blog.
Pas avant de savoir.

Je vous demande de me pardonner pour vous avoir importuné pendant vos vacances.
Mais de même que beaucoup pensent que les français doivent savoir, j'ai pensé que vous aussi. Vous êtes un peu français, après tout.

Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de mes sentiments citoyens.

Patrice Hénin.

mercredi 25 juillet 2007

007 Appel du 4 juillet 2007

BONNES VACANCES !!
AMIS LECTEURS DE CET APPEL DU 4 JUILLET 2007 :

Vous êtes patriotiquement invités à assister à l'audience du Tribunal de Grande Instance de Paris 16ème chambre correctionnelle, le vendredi 7 septembre, 9h00 (entrée à 8h30 au 6 boulevard du Palais 75001). Métro Cité.

En effet, Patrice Hénin y sera jugé pour les faits suivants :

"Prévenu :
D'avoir en tout cas sur le territoire national, le 23 avril 2006 et depuis temps non prescrit, volontairement commis des violences n'ayant pas entraîné d'incapacité totale de travail personnel, sur la personne de Monsieur HENIN Jérôme, avec cette circonstance que les faits ont été commis avec usage ou menace d'une arme, en l'espèce un tazer et un parapluie.
Infraction prévue par ART.222-13 AL.1 10=, ART.132-75 C.PENAL.,faits commis à Paris, en tout cas sur le territoire national le 23 avril 2006, en tout cas depuis temps non prescrit,au tribunal de Grande Instance de Paris, 4 Boulevard du Palais, 75055, PARIS CEDEX 01
Je vous informe que vous devez comparaître en possession des justificatifs de vos revenus ainsi que de vos avis d'imposition ou de non-imposition ou les communiquer à l'avocat qui vous représente.
"

Textuellement, y compris les espaces manquants. Et lire Taser au lieu de tazer. Vous noterez qu'il s'agit d'argent, au final.
J’écris dans mes notes qu'il s'agit d'argent, au départ, et au présent.

Je vous demande de faire partie de ceux qui veulent qu'il n'en soit plus jamais ainsi.
Quelque soit votre parti politique, je pense que la République prévaut.

La devise républicaine de mon pays est : Liberté, Egalité, Fraternité
La séparation des pouvoirs doit être réelle, effective, incontournable, protégée de toute vénalité.

A vos corps défendant, car exécutif, législatif, Justice... sont menacés par l'argent.
Par quelqu'un qui croit avoir tous les pouvoirs, faire exécuter tous ses caprices, parce qu'il a trop d'argent.

Si vous ne me croyez pas, venez écouter.
Si vous me croyez, la Justice a autant besoin de votre soutien que moi de vous.
Si vous croyez en la Justice républicaine de notre pays, venez l'écouter.

L'argent qui corrompt, qui pourrit, qui détruit
… les pouvoirs corrompus…
… des pourris, ceux que l'on appelle des "ripoux"… qui détiennent une parcelle de pouvoir et se mettent au service d'un millionnaire en dollars...
… une planète que l'on détruit… pour avoir plus d'argent...

Même si "Save Our Soils", mon blog, est censuré, comme des vidéos du site Internet "Dailymotion", comme l'émission TV "Arrêt sur Image", etc., d'autres surgiront pour s'insurger.
Beaucoup. Je n'y peux désormais plus rien.

Car vous serez là.

P.S. : L'audience sera couverte par au moins deux quotidiens nationaux, qui pensent que les français doivent savoir.
La salle ne comportant qu'une centaine de places, il est conseillé de se présenter avant l'ouverture prévue des portes du Palais, à 8h30, au 6 boulevard du Palais, Paris, 1er.

Car les personnes qui veulent y assister dépassent à ce jour la centaine. Merci à la France qui se lève tôt.

Pourquoi ? De quoi s'agit-il donc ?
J'ai commencé à l'expliquer dans mon blog, malheureusement. Je ne l'avais pas créé pour cela.
Heureusement, cela va donner aux français le choix entre la révolte, le combat, ou se taire, regarder ce qu'il reste encore d'information à la TV, et accepter les décisions des robes noires de ces miliciens de l'ordre nouvellement établi.

J'ai décidé de suivre l'exemple de mon père, qui a rejoint le général De Gaulle en mai 1943, lui aussi, dans une île.
Ne pas accepter, se battre.

Si le jugement rendu vous semble juste, complétement juste, vous accepterez, ou vous saurez qu'il faut vous battre.

Patrice Hénin (né le 4 juillet 1949)

Ce média Internet, Bellaciao.org à relayé mon texte :
http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=50492

mardi 24 juillet 2007

006 Un médiateur de la république en charge

Le Médiateur
de la République

Monsieur Patrice Hénin
29 rue des Meuniers
75012 Paris

Paris, le 20 octobre 2010

N/réf : 10-009437 / RECEVABILITE
Interlocuteur : Claire DESJARDINS
Téléphone : 01 55 35 22 44

Monsieur,

Vous avez appelé mon attention sur votre situation par deux courriers en date du 24 août 2010 et du 30 août 2010.

je vous informe qu'en application des articles 1 et 6 de la loi n° 73-6 du 3 janvier 1973 instituant un Médiateur de la République, ma mission consiste à enter de résoudre, à l'amiable, les litiges entre les citoyens et l'administration lorsque celle-ci a mal fonctionné au regard des textes en vigueur.

Aussi, compte tenu de la situation évoquée dans votre réclamation, je vous invite à prendre rendez-vous avec mon délégué, Monsieur Georges Vergez, dont vous trouverez les coordonnées ci-dessous :

Maison de la Justice et du Droit du 14ème arrondissement
6 rue Bardinet
75014 Paris
Tél. : 01 45 45 22 23 / Fax : 01 45 40 01 42
georges.vergez@mediateur-republique.fr
permanence : mardi et mercredi (journée)

Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.

Jean-Paul Delevoye
[signature]

--------------------------------
7 rue Saint-Florentin 75008 Paris – Tél. : 01 55 35 24 24 Fax : 01 55 35 24 25 – www.mediateur-republique.frjpdelevoye@mediateur-republique.fr
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------



Youppie !! Rendez-vous est pris pour le mardi 9 octobre 2010 avec ce monsieur Georges Vergez.
Je ne manquerai pas de vous tenir au courant, bien sûr.

ooooOoooo


lundi 23 juillet 2007

005 Médiatrices, médiateurs, médias, chargez. (2 à l'abri CAF)



Destinataires pour info et/ou action:
Citoyenne Bachelot, Roselyne
ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique et de la santé et des sports et du budget et des comptes publics et de la réforme de l'état et c'est tout.
Direction de la sécurité Sociale
14 avenue Duquesne 75350 PARIS;
Citoyen Delanoë, Bertrand
Mairie de Paris
4 r Lobau 75004 PARIS ;
citoyen Delavoye, Jean-Paul
médiateur de feu la Vème République
7 rue Florentin 75008 Paris;
Citoyenne Houel, Françoise
médiatrice de la préfecture de Paris
50 avenue Daumesnil 75012 Paris;
Citoyenne Brisset, Claire
médiatrice nommée par le maire de Paris
32 quai des Celestins 75196 Paris RP;
Citoyenne Lekain, Sylvie
déléguée nommée par la médiatrice de la ville de Paris nommée par le maire de Paris
6 rue Bardinet
75014 Paris;
Sageco groupe Efidis
20 place des Vins de France 75610 Paris cedex 12
Citoyens Edwy Plenel et François Bonnet
Médiapart
8, passage Brulon, 75012 Paris (01 44 68 91 74 – 91 64)
Syndicat National de la Restauration Collective
9 rue de la Trémoille 75008 PARIS
Les ambassadeurs de plusieurs autres pays des droits de l'homme, dont la Chine, la Lybie, la Birmanie et les Etats-Unis, sont servis par courriels.

De Patrice Hénin à :
Citoyen Marinacce, Frédéric
médiateur de la Caisse Nationale des Allocations Familiales
Direction des politiques familiales et sociales.
32 avenue de la Sibelle
75685 Paris cedex 14

Paris, le 30 août 2010

Mesdames, Messieurs,

J'ai téléphoné et/ou rendu visite à plusieurs reprises, à tous les médiateurs listés en destinataires de cette lettre. Renvoyé de l'un à l'autre, j'ai donc une collection d'adresses de médiateurs de toutes sortes, de la République, de la ville de Paris, de la déléguée à la médiatrice de la ville de Paris, de la Préfecture de Police, de la Caisse Nationale des Allocations Familiales, de l'esbroufe...

Madame Sylvie Lekain m'a finalement aimablement reçu et pris connaissances de mes dossiers.

Vous avez apprécié le premier dossier dans ma lettre du 24 août 2010, je vous offre le numéro 2, c'est à dire ma réponse à une autre forme de "médiature de la Sécurité Sociale, tél. : 01 40 56 62 92" de notre merveilleux pays des droits de l'homme, celle de la Caisse Nationale des Allocations Familiales. Pour les nouveaux destinataires, cette lettre est publiée dans le blog "Phénix, blog qui renaît toujours de ses censures", que l'on trouve en tapant mon nom dans un moteur de recherche non sarkozyen.

J'ai été obligé d'écrire le 9 avril 2010 au ministère confié à la citoyenne Bachelot, Roselyne.
L'efficacité de ce ministère est telle qu'ils ont vérifié si l'opération d'avance de trésorerie à la Sageco a bien été régularisé et m'en rendent compte par courrier le 18 juin (de la même année).

De quoi s'agissait-il ?
Tout est déjà raconté et expliqué dans l'article "Roselyne Bachelot : SDF je te ferai, HLM je t'aimerai ", dans ce blog qui regorge de passionnantes et étonnantes descriptions précises d'actes illégaux bafouant les droits de l'homme et dont le fond défie le bon sens, mais toujours pour transférer des fonds dans le mauvais sens.
C''est un livre électronique riche en propositions pour que personne ne puisse vivre cela sous la VIème République qui vient.
Des actes commis sans la moindre élégance ni finesse d'esprit, par les plus nobles institutions de notre inénarrable pays "des droits de l'homme", avec l'aide de quelques employés fêlés mais zélés.
Je ne fais donc qu'un rappel de ce divertissement pour retraité handicapé offert par les services d'un ministère sarkozyen et d'un service social socialiste parisien, pour le bien d'un office HLM à la trésorerie handicapée.

Depuis le 1er janvier 2010, mon appartement obtenu chez Elf Aquitaine dans le cadre du 1% masse salariale a été vendu en l'état, c'est à dire 30 ans après sa construction par l'ancien bailleur Icade, à la société HLM Sageco.

Revendu en l'état, la trésorerie d'Icade n'ayant jamais subi les outrages qu'auraient impliqué de nécessaires et légales maintenances dus aux outrages du temps.
Par exemple, les convecteurs électriques ne fonctionnent plus depuis des années.

Suite à des remarques désobligeantes d'électriciens sur la facilité avec laquelle on pouvait allumer un feu simplement en remplaçant un fusible, ou l'impossibilité de réparer un disjoncteur parce qu'il n'existait plus de pièces pour ce modèle antique, aux isolants devenus cassants comme du verre, j'ai obtenu d'Icade qu'ils refassent l'électricité avant les incendies.
Beaucoup d'appartement ont bénéficié de cette largesse rendue nécessaire par la revente de l'immeuble, un tas de cendres avec des os calcinés ayant moins de valeur.

Les lecteurs de badge d'accès aux parkings ont été changé il y plus de 15 ans, mais je réclame toujours en vain l'attribution de mon badge. Mes visiteurs peuvent ainsi se garer dans le voisinage, en admirant au passage ces multitudes de stations Vélib et de parcs 2 roues qui envahissent le quartier.

Sous la houlette de la conseillère municipale Evelyne Honoré, habitante du complexe immobilier, les seuls éléments neufs ont été l'accumulation de grilles destinées à nous protéger des attaques des cartels de drogues qui se multiplieraient dans le quartier.
C'est peut-être vrai, la recette consistant à intensifier les logements sociaux dans notre quartier tout en laissant les effectifs de police "fondre comme neige au soleil" (citation d'un policier qui m'a rendu visite) peut provoquer de nouveaux appels d'offre salvateurs.

Nous n'avons donc plus accès aux espaces de jardin et bientôt d'aires de jeux, d'autres grilles sont en projet. Mais notre loyer n'a pas été diminué d'autant. L'une des raisons qui ont poussé des locataires à choisir cet immeuble était justement sa particularité d'avoir un vaste espace vert privé.
Mais la citoyenne écologiste Evelyne Honoré veut préserver cet espace vert de toute perverse intrusion humaine, nous devons donc admirer ces lieux récréatifs derrière des barreaux neufs.
Chaque pose de nouvelles grilles nous enferme un peu plus dans la sécurité, tout en offrant du travail aux entreprises reconnaissantes.
Je demande copie des appels d'offre successifs (1981 – 2010).

Le 5 février 2010, la CAF ne me verse pas les 295,11€ de l'allocation logement que je perçois depuis 1994, tout en m'envoyant une lettre ce même jour pour m'en informer.
Ils me reprochaient de n'avoir jamais communiqué "le montant du loyer juillet 2009" (et non la quittance), qu'ils ne m'ont jamais réclamé.




Je me demande pourquoi ce montant sert à calculer mon allocation logement 2010, au lieu du montant du loyer actuel. Cela permet de calculer sur l'assiette d'un loyer datant d'août 2008, d'accord, mais c'est moins juste pour le locataire de 2010.
Et on n'attend pas le fait accompli pour réclamer un document.
Je me suis donc retrouvé avec ma retraite de base (692,43€) plus l'aide parisienne de 31€ soit 723,43€ pour payer les 419,17€ de loyer et les charges incompressible, en tout 640€.

Il reste quand même un solde positif de 83,43€ pour vivre pendant février, puis en mars, mai et juin.

L'employée de la CAF lors de ma première visite (sur cinq), m'avait assuré que la régularisation se ferait dans les 3 à 4 semaines, lorsque je lui ai remis ce précieux document (avis d'échéance).
Mais un mois plus tard on me réclame cette fois la quittance d'août 2009.
J'ai fourni ce document, en me demandant pourquoi on veut vérifier que ce montant de loyer a bien été payé. Apparemment, je n'ai pas été chassé de mon appartement pour non paiement d'un loyer de juillet 2009. La promesse de régularisation m'a été renouvelée au guichet N° 2 de la CAF (101 rue Nationale 75013), le 19 mai à 14h45, toujours pour un délai de 3 à 4 semaines.

Aucun employé de la CAF ne m'a jamais avoué la vérité, à savoir que les allocations ne me seraient jamais remboursées, mais directement versées à mon nouveau bailleur.
D'autres locataires de la Sageco n'auraient pas reçu leur allocation logement en février, mais leur situation aurait été réglée le mois suivant.

En ce qui me concerne, la CAF et son ministère m'ont menti, fait perdre 4 mois pendant lesquels j'ai vécu avec 84€.
J'ai distribué dans les 92 appartements de mon immeuble le papier publié dans mon magnifique blog "Phénix", et j'ai trouvé en retour 30€ dans des enveloppes anonymes déposées dans ma boîte à lettre.
J'ai vidé mon compte d'épargne.
Fin mars, j'ai dépassé l'autorisation de découvert bancaire de -500€ (-603,96€), et ma banque m'a aussitôt retiré cette autorisation ainsi que ma carte bleue. Elle augmente le découvert elle-même en taxant de 20€ un refus de prélèvement d'EDF de 30€.
Des employés de la mairie m'ont alors fortement conseillé de faire une demande d'aide exceptionnelle à cet impayable service social de la mairie.





... trente font cinquante...






Malgré l'acharnement de la citoyenne Fouet, Christine, a défendre ma cause devant la commission d'aide, elle n'a pas convaincu : "l'étude de votre situation financière, telle qu'elle ressort des ressources et charges présentées, ne fait pas apparaître la nécessité d'une aide exceptionnelle" (05/05/2010). On m'a expliqué que les aides étaient accordées aux personnes en grand détresse.
Quand je pense qu'il existe des personnes qui ont encore moins de ressources que moi, j'ai presque honte d'avoir demandé une aide.





En fait, je ne voulais pas d'aide exceptionnelle, mais que la mairie téléphone à la CAF pour qu'elle débloque le non paiement exceptionnel de mon allocation.

Cet échec explique certainement pourquoi elle a eu l'idée de me soulager des 70€ environ que je paye pour le restaurant Emeraude, en m'en interdisant l'accès.
Ce faisant, elle n'a pas réalisé qu'étant obligé de me nourrir convenablement, j'ai cherché le restaurant le moins cher et j'ai pris l'habitude de prendre mes repas pour 12€ avec café pendant les 42 jours d'interdiction de restaurant. Le patron du "Pays de Vannes" (01 43 07 87 42) pourra vous le confirmer.
La décision du service social m'a donc fait perdre 42 X 8,45€ soit 354,90€.
J'ai bien déduis les 10 jours de mon hospitalisation au Val de Grâce pour une attaque cérébrale qui m'a paralysé le côté gauche pendant 48 heures, avec immobilisation totale obligatoire au lit.
Mes nombreux déplacements en métro avec ses escaliers sont à l'origine de l'accident.







M. Frédéric Marinacce de la CNAF ne peut donc affirmer que l'opération est régularisée.
Ou alors il confirme qu'il est bien dans la politique du gouvernement de faire croire pendant 4 mois à un allocataire de la CAF que le versement d'une allocation personnalisée de logement est attribuée au bailleur, et non plus au locataire.
Tout en le faisant littéralement crever de faim et d'épuisement.
Or, cette allocation est personnalisée. La verser au bailleur signifie que l'allocataire n'est pas considéré comme responsable, pas capable de conserver cette somme pour régler son loyer.
Déni de responsabilité. Un traitement proche des systèmes de curatelle et tutelle. Une dangereuse confusion entre allocation et loyer.

Je demande que le même régime imaginé par M. D., directeur de mon agence LCL place Félix Eboué, soit appliqué au ministère de 3 lignes et à la CAF, soit :
agios sur la somme de 295,11€ pour la période du 5 février au 5 mars 2010;
agios sur la somme de 590,22€ pour la période du 5 mars au 5 avril 2010;
agios sur la somme de 885,33€ pour la période du 5 avril au 5 mai 2010;
agios sur la somme de 1180,44€ pour la période du 19 mai au 14 septembre 2010;
etc...
à payer par le gouvernement sarkozyen.

En attendant la restauration de la justice, puis ses réparations et sanctions, veuillez agréer, citoyennes, citoyens, l'expression de ma détermination à lutter contre la corruption et ses effets destructeurs de plusieurs composantes de notre société.

Patrice Hénin
29 rue des meuniers
75012 Paris

PS : rappel dossier 1 Restaurant Emeraude
Suite à une information et ma connaissance de la déontologie en restauration comme ancien aide-cuisinier aux Etats-Unis et en restauration collective à Paris, je demande que la gérante M-C M. du restaurant Emeraude soit tenue éloignée de toute nourriture qui pourrait se retrouver dans mon assiette. C'est la raison de la copie au Syndicat National de la Restauration Collective, à qui je demande d'appuyer cette indispensable précaution.

Je demande un exemplaire du tract que j'aurais distribué, ou au moins sa description, sa teneur. Il est possible qu'il s'agisse de la pétition que nous avons fait circuler pour demander l'embauche en CDI de Mlle Farida, qui nous a affirmé que sa régularisation de séjour était acquise. 42 personnes sur 44 présentes avaient signé cette pétition qui devait continuer à circuler. Mais mon éviction du restaurant m'en a empêché.
Or, je remarque depuis 2003 qu'il y a toujours une serveuse employée par la mairie socialiste en CDD, ce qui est contraire au code du travail.


dimanche 22 juillet 2007

Médiatrices, médiateurs, médias, chargez (1 au menu Restaurant Emeraude)

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J'ai pris rendez-vous le jeudi 29 juillet à la Maison de justice et du Droit de la Ville de Paris, du moins une de ses annexes, 6 rue Bardinet 75014 Paris, avec une certaine madame Sylvie Lekain.

Excellent accueil, cette charmante personne a semblé scandalisée par mes aventures de retraité au pays des droits de l'homme, m'a écouté, compris, et promis d'intervenir.
Il s'agissait de ma plainte contre le service social de la mairie du XIIème, pour m'avoir exclu du restaurant Emeraude sans raisons, et du détournement de mon allocation logement pendant 4 mois, somme finalement versée à mon bailleur, qui déduit cette avance de mes futurs loyers par la grâce de la CAF (le ministère de Roselyne Bachelot, en fait), après m'avoir laissé me débrouiller avec 48€ par mois.

Je rentre chez moi heureux d'avoir enfin pu parler à une personne civilisée, souriante, et perplexe quant aux actions réparatrices qu'elle allait envisager.

Était-elle déjà en train de commander un tueur à gage ?
Cette sous-médiatrice est la quatrième variété de médiateurs que je contacte, d'abord en me présentant à l'accueil, où à chaque fois je suis obligé d'avouer que je n'ai pas rendez-vous mais que si cela est nécessaire, j'en demande un.

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MAIRIE DE PARIS
Claire Brisset
Médiatrice de la ville de Paris

Réf à rappeler NB – 10000652
Dossier suivi par Nadège BERJONNEAU 01 42 76 74 74

Paris, le 4 août 2010

Monsieur Patrice Hénin
29 rue des Meuniers
75012 Paris

Monsieur,

Vous avez souhaité appeler l'attention de ma représentante au sein de la Maison de la Justice et du Droit du 14ème arrondissement au sujet d'un litige auquel vous étiez confronté avec le Centre d'Action Sociale de la Ville de Paris.

A la lecture des éléments que vous m'avez fourni, j'apprends que madame la Directrice de la section du CASVP du 12ème arrondissement vous a autorisé à nouveau l'accès aux restaurants EMERAUDE dans les établissements du 12ème arrondissement, à la condition que vous respectiez certaines mesures d'intérêt général.

Aussi, je ne peux que confirmer cette décision prise en votre faveur.

Toutefois, je vous invite à l'avenir à respecter les dispositions réglementaires en vigueur à l'intérieur de ces restaurants et ce, afin d'éviter tous différents avec le Centre d'Action Sociale de la Ville de Paris.

Tels sont les éléments que je souhaite porter à votre connaissance et qui me conduisent à procéder à la clôture de votre dossier.

Je vous prie de croire, Monsieur, à l'assurance de toute ma considération.

[signature]
Claire Brisset
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Ma réponse à la "médiatrice" :
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Destinataires :
Citoyen Delanoë, Bertrand
Mairie de Paris
citoyen Delavoye, Jean-Paul
médiateur de feu la Vème République
7 rue Florentin 75008 Paris
Citoyenne Houel, Françoise
médiatrice de la préfecture de Paris
50 avenue Daumesnil 75012 Paris
Citoyenne Brisset, Claire
médiatrice nommée par le maire de Paris
32 quai des Celestins
751096 Paris RP
Citoyenne Lekain, Sylvie
6 rue Bardinet
75014 Paris


Paris, le 24 août 2010

Mesdames, Messieurs,

J'ai téléphoné et/ou rendu visite à plusieurs reprises, à tous les médiateurs listés en destinataires de cette lettre. Renvoyé de l'un à l'autre, j'ai donc une collection d'adresses de médiateurs de toutes sortes, de la République, de la ville de Paris, de la déléguée à la médiatrice de la ville de Paris, de la Préfecture de Police...

Madame Sylvie Lekain m'a finalement aimablement reçu en lieu et place de madame Claire Brisset et pris connaissances de mes dossiers.

A la lecture de la lettre datée du 04 août 2010 de madame Brisset, qui reprend les termes de la lettre diffamante que j'ai déjà reçu de madame Christine Fouet, en date du 26 juillet 2010, je considère que pour moi l'affaire n'est pas close, elle ne fait qu'empirer.

Toutes les persécutions ubuesques, incompréhensibles sont déjà racontées, commentées et expliquées dans l'article "Restaurant Emeraude rue de la Brèche aux Loups" de mon blog http://patricehenin.blogspot.com.
On peut découvrir dans cet article les exploits de M. Idriss, qui lui a le droit d'exercer la violence en toute impunité.
Les actions prises à mon encontre par ce service social et la responsable du restaurant Emeraude du 32 rue de la Brèche aux Loups sont maintenant compréhensibles et donc aggravées par vos réponses.

Il n'y a pas lieu de m'autoriser à nouveau, "à titre exceptionnel", l'accès au restaurant.
Mon droit d'accès est reconnu depuis juin 2003, comme handicapé, et depuis août 2009 comme retraité à faible ressources.
Il n'y a aucune raison de m'interdire l'accès à ce restaurant.
Les raisons ont été bien évidemment fomentées.

Les réponses précisent que mon droit d'accès "est subordonné à l'obligation de se comporter avec respect envers le personnel et les autres usagers".
Cette phrase sous-entend que ce ne serait pas le cas.
A l'âge de 61 ans, c'est la première fois que l'on ose m'inventer un tel comportement et me manquer de respect à ce point. C'est de la diffamation.

Lorsque j'ai montré le 26 juillet la lettre de la maire à la cuisinière du restaurant, dans laquelle figurent les mots "… j'ai interrogé les services du centre d'action sociale du XIIème... qui m'ont assuré qu'aucune mesure n'avait été prise à l'encontre de M. Hénin... qui reste... le bienvenu dans les restaurants Emeraude de l'arrondissement", celle-ci a téléphoné à la direction du service social.
Pourquoi ?
Une personne disant s'appeler Thierry Lefebvre, "directeur" du service gestion (?) fait venir la police municipale, après avoir lu cette lettre apparemment jugée idiote.
Pourquoi ?
Les policiers m'ont affirmé que cette lettre de madame le maire n'avait aucune valeur.
Pourquoi ?

La réponse de la citoyenne Brisset, Claire, en reprenant les diffamations de la citoyenne Fouet, Christine, tout en passant sous silence les exploits de M. Idriss, la violence exercée contre M. Anicet (prêt à témoigner en justice), démontre à qui n'aurait pas encore compris que c'est la mairie qui ment à ses administrés, ses propres militants, dont je fus, pour cacher quoi ?

J'ai la réponse, grave, lourde d'implications, que je donnerai en justice, lorsque celle-ci sera de nouveau en état de fonctionner normalement.
Je m'y emploie, en veillant à ce que mes découvertes ne soient pas inutiles si je devais disparaître, mais bien employées pour l'assainissement de notre pays.

La discrimination et la diffamation s'ajoutent aux sept violations des droits de l'homme, dont la barbarie, la mise en danger de ma sécurité, qui seront traités par la Cour Européenne des Droits de l'Homme (requête 32405/08 du 13/01/2009).

Pour les médiateurs qui ne seraient pas au courant, relire les articles en rouge de la table des matières du blog "Phénix, blog qui renaît toujours de ses censures". Il suffit de taper mon nom "Patrice Hénin" dans un moteur de recherche pour consulter ce blog dans l'Internet.
Comme son nom l'indique, si le blog est censuré par Google France, il suffit d'attendre quelques heures pour que Google USA ordonne sa remise en ligne. Ou alors ils veulent casser l'audience. Ou ne sont pas assez payés par Bouygues.

En attendant la restauration de la justice, puis ses sanctions, veuillez agréer, citoyennes, citoyens, l'expression de ma détermination à lutter contre la corruption et ses effets destructeurs de tous les pans de la société : présidence de la République, restaurant Emeraude, psychiatrie. Il va falloir que je me méfie de mon coiffeur, il est armé de ciseaux.



Patrice Hénin
29 rue des meuniers
75012 Paris

PS : seul un mandat d'arrêt international demandé par une autorité, concernant
Mr Jerome L. Henin
861 Bonita Drive
Winter Park, FL 32789
Etats-Unis

pour corruption de hauts fonctionnaires, escroqueries, trafic d'armes, fraudes fiscales, captation d'héritages et fraude aux allocation chômage (perçues en Floride), peut laver l'autorité demandeur de tout soupçon de complicité de l'un de ces crimes.

ooooOoooo
Dernier épisode et fin en ce qui concerne les idées de la mairie pour m'expulser de ce foutu restaurant Emeraude.
Vous avez bien noté que toutes les conditions ont été mises en place.

Que le médiateur de la République m'a reçu pour m'écouter en se tortillant sur sa chaise, en riant de gêne, par contenance, pour évacuer son sentiment d'impuissance et de secrète révolte au récit incroyable de la bassesse de cette mairie.
Il est bien précisé que je suis de nouveau admis à condition que je "respecte les règles en vigueur dans l'établissement".
Eh bien, voici la règle en vigueur que je dois accepter : laisser un voyou, un nouveau peu recommandable d'aspect, me cracher au visage, me provoquer "pour aller régler ça dehors", jeter des déchets dans mon assiette...
Moi, je n'avais rien fait d'autre que de m'asoir à table en disant boujour. Dès que j'ai ouvert la bouche, ce type a fait son cinéma.
La serveuse Micheline a crié en levant les bras au ciel "mais il ne fait que des histoires partout où il s'assieds, celui-là". Ne vous trompez pas, elle me montrait du doigt.
Une fidèle serveuse en chef, qui veut se faire bien voir de la mairie...
Il y a des gens que cela amuse, ce genre de scène immonde, en sachant avoir la "protection" des autorités. C'était le 17 novembre 2010. Témoins à la même table : Joseph X, "Pépé", M. Gonnet (?).
Je me lève,et je constate qu'à une autre table on commère sur moi. Je demande pourquoi, on me réponds "va-t-en, microbe"...
Il y a aussi le syndrome de Milgram, cette expérience dans laquelle l'autorité demande à une personne d'infliger des chocs électriques de plus en plus violents à une personne, sous couvert d'expérience conduite par une personne en blouse blanche.
Je n'ai pas répondu à la provocation. Les flics seraient arrivés et m'auraient embarqués, et considéré comme l'agresseur, comme ils l'ont fait en 2006.

Ecoeuré, j'ai voulu faire une main courante au commissariat de Bercy, dont je dépends, géographiquement. Je me suis bien rendu au commissariat, et le policier François Hoffman me donne rendez-vous pour le lendemain 25 novembre à 10h.
Il a fait semblant de rédiger la main courante, et m'explique que je n'ai pas besoin de copie "puisque c'est enregistré dans l'ordinateur".
Bon, j'ai compris, il n'y a pas de police pour moi dans ce pays.

Plus tard, Micheline, cette serviable serveuse municipale, me sert un steack haché au lieu du plat normal servi aux autres, en rigolant.
Puis la serveuse s'est absentée, est partie en vacances pour 2 mois en Martinique.
Le jeudi 16 décembre 2010, repas de Noël, avec présence de l'équipe du servicesocial, M. Thierry Lefebvre, Christine Fouet, madame le maire Michèle Blumenthal. Tous venant se nourrie avec faste pour 10€ (?). J'en profite pour expliquer mes déboires, histoires de crachats et lui emande son avis. Après un instant de reflexion, assez long, elle me rétorque d'un ton morne : "vous êtes anti-sémite...".
Je comprends tout d'un coup pourquoi plusieurs personnes "pas très catholiques" (expression française remise au goût du jour par feu le conseiller général du Languedoc-Roussillon Georges Frêche) me cassent du sucre sur le dos dans ce restaurant.
Parce que la maire a édité un arrêté me déclarant anti-sémite, crime qui hante la conscience française depuis la collaboration, et que nous continuons à expier, en vertu du devoir de mémoire : "le juif tu ne nommeras innommable, sinon il te dénoncera... d'opprobre te frapperas, de vindicte publique tu chuteras..".
Tout ce petit monde s'installe, le peuple de élus alignés, mes témoins de crachat alignés en tables parallèle, et oh ! merveille, le cracheur fou à proximité. Soudain je me lève, crie à la maire en tapotant l'épaule du malabar tatoué :" tenez, c'est celui-là qui m'a craché à la figure, les témoins sont là : faites ce que vous avez à faire !"
Le cracheur fou et le responsable Thierry Lefebvre se lèvent ensemble, l'un me coince vers le mur, ne sachant s'il avait le droit de me frapper, le tout formant simultanément un empilement de 2 personnes collées au mur : le pousseur, moi, l'acculé" (mot approximatif). Je me dégage, m'assoie et observe le malheureux directeur de gestion essayant d'expliquer je ne sais quoi à Jean-Marie, qui finit par lui montrer un carte. Tiens ?
J'ai pensé à ce que j'avais découvert en travaillant dans un restaurant français en Floride, puis en restauration collective en France : cracher dans le plat, ça ne se voit pas mais ça soulage, quand un client vous déplaît vraiment. Pratique pas si rare que cela.

En mars 2011, à son retour de Martinique, j'avais commis l'erreur d'interdire à Micheline de me servir, ce qui lui a permis de faire un scandale, qui lui a attiré la sympathie des personnes qui ne comprenaient pas pourquoi je "faisais des histoires à son sujet". Peu de personnes savaient ce qui s'était passé, cette dégoûtante histoire de crachat à la figure, d'ailleurs peu crédible pour une personne normale.
Quant à ceux qui étaient témoins, ils doivent avoir peur de ce voyou malabar, entièrement tatoué sur les bras.
Un peu comme ceux qui n'interviennent pas dans le métro, lors d'une agression physique.
Enfin, mon inconduite a été prouvé, justifiée, et j'ai reçu la lettre recommandée d'expulsion qu'affectionne tant ce service social.
Je déjeune depuis au restaurant Emeraude à Saint-Paul : métro, escaliers, agrémentés d'un pointage par semaine au Palais de Justice, mais ce détail est une autre histoire.
Mais tout se tient : m'épuiser, espèrer un deuxième accident cardio-vasculaire, pour en finir avec ce frère de trafiquant d'armes millionnaire qui a déjà donné ses ordres depuis 5 ans.

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Paris, le 21 mars 2011
Section du 12ème arrondissement
Direction
Tél : 01 44 68 62 74
Monsieur,
Je vous rappelle que par courrier du 26 juillet 2010, je vous ai autorisé à prendre à nouveau vos repas sur table dans les restaurants du 12ème arrondissement, sous réserve que vous veillez à adopter un comportement sociable, à ne plus troubler le calme qui convient à une salle de restaurant et à respecter les personnes qui vous entourent.

Or, j'ai eu connaissance de vos actes répétés d'agressivité envers le personnel et les usagers, notamment lors du déjeuner du 10 mars 2011.
Votre refus de vous faire servir par un membre du personnel sous pretexte qu'il ne vous convient pas n'est pas tolérable.
Aussi, je vous rappelle que la carte de restauration vous donne accès à toutes les restaurants parisiens et que vous avez la possibilité de choisir un autre restaurant Emeraude dans un autre arrondissement si le service ne vous convient pas.
Vous avez également la possibilité de commander des Repas à emporter au restaurant "La Brèche aux Loups".
En tout état de cause, je vous informe que j'ai décidé de vous interdire définitivement l'accès sur table au restaurant de la brèche aux Loups, ainsi que dans les autres restaurants gérés par la section du 12ème arrondissement.
Cette mesure prendra effet à compter de la date de première présentation du courrier recommandé à votre domicile.
Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.
La Directrice de la Section du Centre d'Action Sociale de la Ville d Paris du 12ème Arrondissement,
[signature]
Christine Fouet.

108 avenue Daumesnil 75012 Paris - 01 44 68 62 00 télécopie 01 44 67 79 47
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Puisque Google me refuse l'importation de la copie de cette lettre, voici un lien vers cette copie :
http://dl.dropbox.com/u/16350708/2011_03_21_lettre_expulsion_definitive_emeraude001.jpg
(merci à la société Dropbox !)

L'importation dans Google Blogger du scan de cette lettre a provoqué le message "serveur refusé" :

 












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