mardi 29 mai 2007

060 Non-lieu du procès en diffamation mais on récidive en diffamation

Copie de secours de cet article est placée dans l'un des dossiers : http://patrice.henin.free.fr/Dossiers_DOC_PHENIx/
Le manuscrit complet (mise à jour mensuelle) du blog est téléchargeable en livre PDF ici  :
ooooOoooo
La première plainte pour "diffamation" (pour moi "dénonciation") émise par mon petit frère, a donné lieu (français) à un non-lieu (judiçiais) :







Dernière minute.
Mon petit frère récidive, je reçois une nouvelle plainte pour diffamation, portant sur un texte publié chez Blogspirit.com le 4 avril 2008. Je rappelle, moi qui ne suit ni avocat, magistrat ou diffamateur, qu'il y a prescription si le texte a été publié il y a plus de deux mois.


Soit mon frère est malade, ou la justice, ou les deux à la fois, soit il n'y a plus de lois et on fait ce que l'on veut.
C'est exactement ce que je m'efforce de démontrer dans ce blog.
Dans ce cas, je préconise l'expertise psychiatrique de mon frère, à faire effectuer par l'experte-psychiatre Marie-Elisabeth Meyer-Buisan, qui a l'avantage de connaître la famille.
Cela permettrais au bas peuple de voir à quoi ressemble leurs nouveaux maîtres du monde.
Cela pourrait faciliter la tâche à la justice française, par ailleurs fort occupée malgré ses 1,59% de budget alloués par le gouvernement sarkozyen :







Bon. Moi, Patrice Hénin, j'accuse :
les dirigeants du groupe Patrimo-société de Conception et Réalisations, filiale de Bouygues Immobilier et leurs successeurs juridiques (Patrimo Sté de Maîtrise d'Ouvrages d'Opérations, Patrimo Promotion et Réalisations, SNC Stim Entreprises) d'avoir embauché mon frère pour l'initier et le former à la corruption de hauts fonctionnaires au niveau international.
Depuis, mon pauvre petit frère est en tombé millionnaire, est devenu complètement fou par l'argent facile, ivre de la puissance des privilèges incroyables acquis en devenant membre des vampires, privilèges qui lui permettent de me répondre par courriel, en juin 2004, lorsque je lui demandait des nouvelles de notre père qui venait d'être atteint mortellement d'une leucémie aigüe : "je te ferai interner le moment venu".

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire