lundi 11 novembre 2013

Condamner la victime ? On peut, à la 12ème chambre du TGI Paris


INVITATION GRATUITE AU CIRQUE, SÉANCE PUBLIQUE OFFERTE par la 12ème chambre correctionnelle/1 le 18 décembre à 13H30 au Palais de Justice.

Rires garantis, spectacle mêlant le désopilant et désolant  : la chambre va s'efforcer de condamner la victime (moi) et couvrir ainsi les nombreux agissements (criminels) des policiers de notre charmant arrondissement.

 

Pendant tout l'été 2010, ce monsieur Mohamed Ali Mahmoudi a batifolé dans nos parties communes (escaliers) avec de nombreux amis toutes les nuits, avec une préférence marquée pour les étages supérieurs de notre immeuble.

Notre gardienne a nettoyé les restes de leurs agapes tous les matins pendant un bon mois.

Ceux et celles qui ont écrit en LRAR au commissariat pour faire cesser ces invasions et pollutions sont invités, ainsi que tous les habitants de l'immeuble, à découvrir le degré de civilisation atteints par ces forces "de l'ordre" très productives : rackets de dealers, corruption diverses et variées, impunité judiciaire… De vrais terroristes.

 

De juin à juillet 2011, ils n''étaient plus que deux à glander tous les après-midi et soirs devant notre entrée d'immeuble, on se demande pourquoi. Moi je le sais, à chaque fois que je rentrais seul, l'un d'eux se mettait à crier "le blog, le blog, toutes ces manigances, ça va péter, ça va péter !".

En effet, je dénonce dans mon site Internet de graves et répétés dysfonctionnements de ces policiers du XIIème, depuis avril 2006.

 

Le 16 juillet 2011 j'ai refusé de les laisser entrer en même temps que moi. J'ai appelé le 17.

Monsieur Mahmoudi m'a arraché mon téléphone, l'a jeté par terre. Quand la police est arrivée, longtemps après, elle s'est contentée de me dire de porter plainte le lendemain, "parce que l'on ne déplace pas pour rien".

La nuit même, monsieur Jean Caire a été visité" par la fenêtre (1ème étage côté Jardiniers), sa plainte n'a jamais été transmise au parquet, ce qui prouve que la police protège cet individu.

Des policiers qui m'apprécient (ça existe) m'ont dit qu'il devait être un indicateur.

Monsieur Caire refuse de me donner copie de la plainte "oubliée", par peur de représailles policières. Elle me permettrait pourtant de prouver aux juges que ces policiers utilisent ce voyou.

Lors de mon dépôt de plainte, le policier a demandé une description précise.

 

Le 1er août 2011, Mahmoudi passe devant mon arrêt de bus à midi.

Il rigole en me voyant, je lui dis qu'il est recherché par la police et que je vais le prendre en photo.

Il me frappe très violemment au visage : mâchoire fracassée, nerf orbital sensitif détruit, donc hypoesthésie joue droite à vie. Un œil fermé pendant 10 jours.

Il disparaît au coin de la rue et réapparaît 10 minutes plus tard avec 2 agents de la BAC, qui conseillent au pauvre monsieur Mohamed Ali Mahmoudi de porter plainte contre moi.

Les photos sont visibles dans le "Prologue" de mon site "PHENIx, blog qui renaît toujours de ses censures" (http://patricehenin.blogspot.fr/p/prologue.html)

 

Une radio, IDFM98, m'a interviewé par téléphone le 5 septembre 2011, l'émission d'une heure est disponible sur CD ou à cette adresse http://patrice.henin.free.fr/

Vu l'émoi qu'a suscité cette interview, vous y trouverez aussi une émission que j'ai assuré de minuit à 6h le 20 septembre 2011.



VENEZ NOMBREUX ! RTT indispensable pour exiger le retour de l'état de droit.


 

 

Cour d'Appel de Paris
Tribunal de Grande Instance de Paris

 

Parquet du procureur de la République
Service : AUDIENCEMENT 12/1

N° de parquet : 12048001400
N° de téléphone : 01 44 32 61 47

N° télécopie : 01 44 32 78 68

 

GROUPEMENT DES HUISSIERS
boulevard du Palais
75001 PARIS 1ER

Mandement de citation
à prévenu

Vu l'article 550 et suivants du code de procédure pénale ;

 

J'ai l'honneur de vous prier de bien vouloir citer à comparaître et, après régularisation de l'exploit, de me le retourner dans un délai maximum de 10 jours :

 

HENIN Patrice
né le 4 juillet 1949 à DAKAR (Sénégal)
29 rue des Meuniers 75012 PARIS
libre
prévenu

 

D'avoir à Paris, en tout cas sur le territoire national, le 1er août 2011 et depuis temps non prescrit, volontairement commis des violences n'ayant pas entraîné d'incapacité totale de travail sur la personne de Mohamed Ali MAHMOUDI, faits prévus par ART.R624-1 AL.1 C. PENAL, et réprimés par ART.R.624-1 AL.1, AL2 C. PENAL.

 

L'audience se tiendra le 18 décembre 2013 à 13H30 devant le Tribunal Correctionnel de Paris 4 Boulevard du Palais 75055 PARIS 1ER – 12ème chambre correctionnelle 1.

Fait au parquet, le 29 octobre 2013
Le procureur de la République
[cachet, signature, pas de nom]

 
 
 
 


Aux dernières nouvelles, le professeur Hervé Taillia n'est pas convoqué comme prévenu et ne sera donc pas condamné.

 

 

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