dimanche 22 juillet 2007

Médiatrices, médiateurs, médias, chargez (1 au menu Restaurant Emeraude)

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J'ai pris rendez-vous le jeudi 29 juillet à la Maison de justice et du Droit de la Ville de Paris, du moins une de ses annexes, 6 rue Bardinet 75014 Paris, avec une certaine madame Sylvie Lekain.

Excellent accueil, cette charmante personne a semblé scandalisée par mes aventures de retraité au pays des droits de l'homme, m'a écouté, compris, et promis d'intervenir.
Il s'agissait de ma plainte contre le service social de la mairie du XIIème, pour m'avoir exclu du restaurant Emeraude sans raisons, et du détournement de mon allocation logement pendant 4 mois, somme finalement versée à mon bailleur, qui déduit cette avance de mes futurs loyers par la grâce de la CAF (le ministère de Roselyne Bachelot, en fait), après m'avoir laissé me débrouiller avec 48€ par mois.

Je rentre chez moi heureux d'avoir enfin pu parler à une personne civilisée, souriante, et perplexe quant aux actions réparatrices qu'elle allait envisager.

Était-elle déjà en train de commander un tueur à gage ?
Cette sous-médiatrice est la quatrième variété de médiateurs que je contacte, d'abord en me présentant à l'accueil, où à chaque fois je suis obligé d'avouer que je n'ai pas rendez-vous mais que si cela est nécessaire, j'en demande un.

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MAIRIE DE PARIS
Claire Brisset
Médiatrice de la ville de Paris

Réf à rappeler NB – 10000652
Dossier suivi par Nadège BERJONNEAU 01 42 76 74 74

Paris, le 4 août 2010

Monsieur Patrice Hénin
29 rue des Meuniers
75012 Paris

Monsieur,

Vous avez souhaité appeler l'attention de ma représentante au sein de la Maison de la Justice et du Droit du 14ème arrondissement au sujet d'un litige auquel vous étiez confronté avec le Centre d'Action Sociale de la Ville de Paris.

A la lecture des éléments que vous m'avez fourni, j'apprends que madame la Directrice de la section du CASVP du 12ème arrondissement vous a autorisé à nouveau l'accès aux restaurants EMERAUDE dans les établissements du 12ème arrondissement, à la condition que vous respectiez certaines mesures d'intérêt général.

Aussi, je ne peux que confirmer cette décision prise en votre faveur.

Toutefois, je vous invite à l'avenir à respecter les dispositions réglementaires en vigueur à l'intérieur de ces restaurants et ce, afin d'éviter tous différents avec le Centre d'Action Sociale de la Ville de Paris.

Tels sont les éléments que je souhaite porter à votre connaissance et qui me conduisent à procéder à la clôture de votre dossier.

Je vous prie de croire, Monsieur, à l'assurance de toute ma considération.

[signature]
Claire Brisset
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Ma réponse à la "médiatrice" :
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Destinataires :
Citoyen Delanoë, Bertrand
Mairie de Paris
citoyen Delavoye, Jean-Paul
médiateur de feu la Vème République
7 rue Florentin 75008 Paris
Citoyenne Houel, Françoise
médiatrice de la préfecture de Paris
50 avenue Daumesnil 75012 Paris
Citoyenne Brisset, Claire
médiatrice nommée par le maire de Paris
32 quai des Celestins
751096 Paris RP
Citoyenne Lekain, Sylvie
6 rue Bardinet
75014 Paris


Paris, le 24 août 2010

Mesdames, Messieurs,

J'ai téléphoné et/ou rendu visite à plusieurs reprises, à tous les médiateurs listés en destinataires de cette lettre. Renvoyé de l'un à l'autre, j'ai donc une collection d'adresses de médiateurs de toutes sortes, de la République, de la ville de Paris, de la déléguée à la médiatrice de la ville de Paris, de la Préfecture de Police...

Madame Sylvie Lekain m'a finalement aimablement reçu en lieu et place de madame Claire Brisset et pris connaissances de mes dossiers.

A la lecture de la lettre datée du 04 août 2010 de madame Brisset, qui reprend les termes de la lettre diffamante que j'ai déjà reçu de madame Christine Fouet, en date du 26 juillet 2010, je considère que pour moi l'affaire n'est pas close, elle ne fait qu'empirer.

Toutes les persécutions ubuesques, incompréhensibles sont déjà racontées, commentées et expliquées dans l'article "Restaurant Emeraude rue de la Brèche aux Loups" de mon blog http://patricehenin.blogspot.com.
On peut découvrir dans cet article les exploits de M. Idriss, qui lui a le droit d'exercer la violence en toute impunité.
Les actions prises à mon encontre par ce service social et la responsable du restaurant Emeraude du 32 rue de la Brèche aux Loups sont maintenant compréhensibles et donc aggravées par vos réponses.

Il n'y a pas lieu de m'autoriser à nouveau, "à titre exceptionnel", l'accès au restaurant.
Mon droit d'accès est reconnu depuis juin 2003, comme handicapé, et depuis août 2009 comme retraité à faible ressources.
Il n'y a aucune raison de m'interdire l'accès à ce restaurant.
Les raisons ont été bien évidemment fomentées.

Les réponses précisent que mon droit d'accès "est subordonné à l'obligation de se comporter avec respect envers le personnel et les autres usagers".
Cette phrase sous-entend que ce ne serait pas le cas.
A l'âge de 61 ans, c'est la première fois que l'on ose m'inventer un tel comportement et me manquer de respect à ce point. C'est de la diffamation.

Lorsque j'ai montré le 26 juillet la lettre de la maire à la cuisinière du restaurant, dans laquelle figurent les mots "… j'ai interrogé les services du centre d'action sociale du XIIème... qui m'ont assuré qu'aucune mesure n'avait été prise à l'encontre de M. Hénin... qui reste... le bienvenu dans les restaurants Emeraude de l'arrondissement", celle-ci a téléphoné à la direction du service social.
Pourquoi ?
Une personne disant s'appeler Thierry Lefebvre, "directeur" du service gestion (?) fait venir la police municipale, après avoir lu cette lettre apparemment jugée idiote.
Pourquoi ?
Les policiers m'ont affirmé que cette lettre de madame le maire n'avait aucune valeur.
Pourquoi ?

La réponse de la citoyenne Brisset, Claire, en reprenant les diffamations de la citoyenne Fouet, Christine, tout en passant sous silence les exploits de M. Idriss, la violence exercée contre M. Anicet (prêt à témoigner en justice), démontre à qui n'aurait pas encore compris que c'est la mairie qui ment à ses administrés, ses propres militants, dont je fus, pour cacher quoi ?

J'ai la réponse, grave, lourde d'implications, que je donnerai en justice, lorsque celle-ci sera de nouveau en état de fonctionner normalement.
Je m'y emploie, en veillant à ce que mes découvertes ne soient pas inutiles si je devais disparaître, mais bien employées pour l'assainissement de notre pays.

La discrimination et la diffamation s'ajoutent aux sept violations des droits de l'homme, dont la barbarie, la mise en danger de ma sécurité, qui seront traités par la Cour Européenne des Droits de l'Homme (requête 32405/08 du 13/01/2009).

Pour les médiateurs qui ne seraient pas au courant, relire les articles en rouge de la table des matières du blog "Phénix, blog qui renaît toujours de ses censures". Il suffit de taper mon nom "Patrice Hénin" dans un moteur de recherche pour consulter ce blog dans l'Internet.
Comme son nom l'indique, si le blog est censuré par Google France, il suffit d'attendre quelques heures pour que Google USA ordonne sa remise en ligne. Ou alors ils veulent casser l'audience. Ou ne sont pas assez payés par Bouygues.

En attendant la restauration de la justice, puis ses sanctions, veuillez agréer, citoyennes, citoyens, l'expression de ma détermination à lutter contre la corruption et ses effets destructeurs de tous les pans de la société : présidence de la République, restaurant Emeraude, psychiatrie. Il va falloir que je me méfie de mon coiffeur, il est armé de ciseaux.



Patrice Hénin
29 rue des meuniers
75012 Paris

PS : seul un mandat d'arrêt international demandé par une autorité, concernant
Mr Jerome L. Henin
861 Bonita Drive
Winter Park, FL 32789
Etats-Unis

pour corruption de hauts fonctionnaires, escroqueries, trafic d'armes, fraudes fiscales, captation d'héritages et fraude aux allocation chômage (perçues en Floride), peut laver l'autorité demandeur de tout soupçon de complicité de l'un de ces crimes.

ooooOoooo
Dernier épisode et fin en ce qui concerne les idées de la mairie pour m'expulser de ce foutu restaurant Emeraude.
Vous avez bien noté que toutes les conditions ont été mises en place.

Que le médiateur de la République m'a reçu pour m'écouter en se tortillant sur sa chaise, en riant de gêne, par contenance, pour évacuer son sentiment d'impuissance et de secrète révolte au récit incroyable de la bassesse de cette mairie.
Il est bien précisé que je suis de nouveau admis à condition que je "respecte les règles en vigueur dans l'établissement".
Eh bien, voici la règle en vigueur que je dois accepter : laisser un voyou, un nouveau peu recommandable d'aspect, me cracher au visage, me provoquer "pour aller régler ça dehors", jeter des déchets dans mon assiette...
Moi, je n'avais rien fait d'autre que de m'asoir à table en disant boujour. Dès que j'ai ouvert la bouche, ce type a fait son cinéma.
La serveuse Micheline a crié en levant les bras au ciel "mais il ne fait que des histoires partout où il s'assieds, celui-là". Ne vous trompez pas, elle me montrait du doigt.
Une fidèle serveuse en chef, qui veut se faire bien voir de la mairie...
Il y a des gens que cela amuse, ce genre de scène immonde, en sachant avoir la "protection" des autorités. C'était le 17 novembre 2010. Témoins à la même table : Joseph X, "Pépé", M. Gonnet (?).
Je me lève,et je constate qu'à une autre table on commère sur moi. Je demande pourquoi, on me réponds "va-t-en, microbe"...
Il y a aussi le syndrome de Milgram, cette expérience dans laquelle l'autorité demande à une personne d'infliger des chocs électriques de plus en plus violents à une personne, sous couvert d'expérience conduite par une personne en blouse blanche.
Je n'ai pas répondu à la provocation. Les flics seraient arrivés et m'auraient embarqués, et considéré comme l'agresseur, comme ils l'ont fait en 2006.

Ecoeuré, j'ai voulu faire une main courante au commissariat de Bercy, dont je dépends, géographiquement. Je me suis bien rendu au commissariat, et le policier François Hoffman me donne rendez-vous pour le lendemain 25 novembre à 10h.
Il a fait semblant de rédiger la main courante, et m'explique que je n'ai pas besoin de copie "puisque c'est enregistré dans l'ordinateur".
Bon, j'ai compris, il n'y a pas de police pour moi dans ce pays.

Plus tard, Micheline, cette serviable serveuse municipale, me sert un steack haché au lieu du plat normal servi aux autres, en rigolant.
Puis la serveuse s'est absentée, est partie en vacances pour 2 mois en Martinique.
Le jeudi 16 décembre 2010, repas de Noël, avec présence de l'équipe du servicesocial, M. Thierry Lefebvre, Christine Fouet, madame le maire Michèle Blumenthal. Tous venant se nourrie avec faste pour 10€ (?). J'en profite pour expliquer mes déboires, histoires de crachats et lui emande son avis. Après un instant de reflexion, assez long, elle me rétorque d'un ton morne : "vous êtes anti-sémite...".
Je comprends tout d'un coup pourquoi plusieurs personnes "pas très catholiques" (expression française remise au goût du jour par feu le conseiller général du Languedoc-Roussillon Georges Frêche) me cassent du sucre sur le dos dans ce restaurant.
Parce que la maire a édité un arrêté me déclarant anti-sémite, crime qui hante la conscience française depuis la collaboration, et que nous continuons à expier, en vertu du devoir de mémoire : "le juif tu ne nommeras innommable, sinon il te dénoncera... d'opprobre te frapperas, de vindicte publique tu chuteras..".
Tout ce petit monde s'installe, le peuple de élus alignés, mes témoins de crachat alignés en tables parallèle, et oh ! merveille, le cracheur fou à proximité. Soudain je me lève, crie à la maire en tapotant l'épaule du malabar tatoué :" tenez, c'est celui-là qui m'a craché à la figure, les témoins sont là : faites ce que vous avez à faire !"
Le cracheur fou et le responsable Thierry Lefebvre se lèvent ensemble, l'un me coince vers le mur, ne sachant s'il avait le droit de me frapper, le tout formant simultanément un empilement de 2 personnes collées au mur : le pousseur, moi, l'acculé" (mot approximatif). Je me dégage, m'assoie et observe le malheureux directeur de gestion essayant d'expliquer je ne sais quoi à Jean-Marie, qui finit par lui montrer un carte. Tiens ?
J'ai pensé à ce que j'avais découvert en travaillant dans un restaurant français en Floride, puis en restauration collective en France : cracher dans le plat, ça ne se voit pas mais ça soulage, quand un client vous déplaît vraiment. Pratique pas si rare que cela.

En mars 2011, à son retour de Martinique, j'avais commis l'erreur d'interdire à Micheline de me servir, ce qui lui a permis de faire un scandale, qui lui a attiré la sympathie des personnes qui ne comprenaient pas pourquoi je "faisais des histoires à son sujet". Peu de personnes savaient ce qui s'était passé, cette dégoûtante histoire de crachat à la figure, d'ailleurs peu crédible pour une personne normale.
Quant à ceux qui étaient témoins, ils doivent avoir peur de ce voyou malabar, entièrement tatoué sur les bras.
Un peu comme ceux qui n'interviennent pas dans le métro, lors d'une agression physique.
Enfin, mon inconduite a été prouvé, justifiée, et j'ai reçu la lettre recommandée d'expulsion qu'affectionne tant ce service social.
Je déjeune depuis au restaurant Emeraude à Saint-Paul : métro, escaliers, agrémentés d'un pointage par semaine au Palais de Justice, mais ce détail est une autre histoire.
Mais tout se tient : m'épuiser, espèrer un deuxième accident cardio-vasculaire, pour en finir avec ce frère de trafiquant d'armes millionnaire qui a déjà donné ses ordres depuis 5 ans.

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Paris, le 21 mars 2011
Section du 12ème arrondissement
Direction
Tél : 01 44 68 62 74
Monsieur,
Je vous rappelle que par courrier du 26 juillet 2010, je vous ai autorisé à prendre à nouveau vos repas sur table dans les restaurants du 12ème arrondissement, sous réserve que vous veillez à adopter un comportement sociable, à ne plus troubler le calme qui convient à une salle de restaurant et à respecter les personnes qui vous entourent.

Or, j'ai eu connaissance de vos actes répétés d'agressivité envers le personnel et les usagers, notamment lors du déjeuner du 10 mars 2011.
Votre refus de vous faire servir par un membre du personnel sous pretexte qu'il ne vous convient pas n'est pas tolérable.
Aussi, je vous rappelle que la carte de restauration vous donne accès à toutes les restaurants parisiens et que vous avez la possibilité de choisir un autre restaurant Emeraude dans un autre arrondissement si le service ne vous convient pas.
Vous avez également la possibilité de commander des Repas à emporter au restaurant "La Brèche aux Loups".
En tout état de cause, je vous informe que j'ai décidé de vous interdire définitivement l'accès sur table au restaurant de la brèche aux Loups, ainsi que dans les autres restaurants gérés par la section du 12ème arrondissement.
Cette mesure prendra effet à compter de la date de première présentation du courrier recommandé à votre domicile.
Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.
La Directrice de la Section du Centre d'Action Sociale de la Ville d Paris du 12ème Arrondissement,
[signature]
Christine Fouet.

108 avenue Daumesnil 75012 Paris - 01 44 68 62 00 télécopie 01 44 67 79 47
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Puisque Google me refuse l'importation de la copie de cette lettre, voici un lien vers cette copie :
http://dl.dropbox.com/u/16350708/2011_03_21_lettre_expulsion_definitive_emeraude001.jpg
(merci à la société Dropbox !)

L'importation dans Google Blogger du scan de cette lettre a provoqué le message "serveur refusé" :

 












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1 commentaire:

  1. Je constate sans guère de surprise qu'il n'y a pas que moi à avoir eu des démêlés avec certains centres « d'accueil » sociaux. En l'occurrence, le Centre Mouffetard (rue Ortolan) est une petite merveille du genre, ainsi que le Directeur du CAS de l'Arrondissement...

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